Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 26 Février 2019
Asuka et Ryû ont finalement décidé, malgré leur incompatibilité, de sortir ensemble. Ils tentent bien que mal d’avoir des horaires en commun pour se voir mais avec un travail aussi prenant que celui de Ryû, difficile de consacrer des moments d’intimité. Et quand enfin ce moment tant espérer se présente, Asuka fait une gaffe en parlant de mariage. L’atmosphère installée est donc rompue pour cette fois ci… Mais même après ce léger incident, ils décident de se focaliser sur le présent et d’approfondir leur relation, de toute façon le mariage n’a pas encore lieu d’être dans un commencement de situation comme la leur.
Outre ça, notre présentateur devient de plus en plus prit par son travail et accumule les contrats. Ce qui lui fait des journées inhumaines, une vie privée qui est très altérée ainsi qu’une inexistence des jours de repos. C’est un gros défis qui l’attend car il a accepté d’être le présentateur d’une très grande émission, dont quelques années auparavant, il avait à la limite gâché la diffusion car il n’était pas prêt pour le rôle…
Pour notre couple, les bases comment doucement à se poser même si nous ne sommes pas encore tout à fait convaincus de leur relation. Il est vrai que vu leur situations et envies respectives, le fait qu’ils n’arrivent pas à communiquer comme ils le souhaitent ou encore que la jeune femme ne pense quasi qu’au mariage, il nous est presque inimaginable de les concevoir ensemble dans quelques années. Mais comme Rio l’a si bien dit, il faut se consacrer au présent et laisser couler pour la suite. « Ils s’aiment c’est l’essentiel. »
Quant à l’auteure, Izumi Miyazono, elle s’arrange dans son écrit pour adapter les situations et faire tenir le fil très fin qui relit les deux tourtereaux. Ce fil se transformera un jour en corde très solide ? Qui sait, mais nous espérons voir un jour, dans un tome un peu plus évolué dans l’histoire, un tournant qui fera qu’un ultimatum se posera et qu’ils ne pourront plus fuir leur pseudo-relation.
Nous conclurons donc avec l’aspect de la maturité de l’histoire. Après le premier tome qui se révélait être un josei à la vue de la maturité du scénario, ici nous tombons à certains moments dans une certaine « gaminerie » qui est propre à l’univers shojo. Mais nous repasserons, de toute façon, assez vite dans le train quotidien qui nous rappelle que nous sommes avec des adultes et non des adolescents.
Outre ça, notre présentateur devient de plus en plus prit par son travail et accumule les contrats. Ce qui lui fait des journées inhumaines, une vie privée qui est très altérée ainsi qu’une inexistence des jours de repos. C’est un gros défis qui l’attend car il a accepté d’être le présentateur d’une très grande émission, dont quelques années auparavant, il avait à la limite gâché la diffusion car il n’était pas prêt pour le rôle…
Pour notre couple, les bases comment doucement à se poser même si nous ne sommes pas encore tout à fait convaincus de leur relation. Il est vrai que vu leur situations et envies respectives, le fait qu’ils n’arrivent pas à communiquer comme ils le souhaitent ou encore que la jeune femme ne pense quasi qu’au mariage, il nous est presque inimaginable de les concevoir ensemble dans quelques années. Mais comme Rio l’a si bien dit, il faut se consacrer au présent et laisser couler pour la suite. « Ils s’aiment c’est l’essentiel. »
Quant à l’auteure, Izumi Miyazono, elle s’arrange dans son écrit pour adapter les situations et faire tenir le fil très fin qui relit les deux tourtereaux. Ce fil se transformera un jour en corde très solide ? Qui sait, mais nous espérons voir un jour, dans un tome un peu plus évolué dans l’histoire, un tournant qui fera qu’un ultimatum se posera et qu’ils ne pourront plus fuir leur pseudo-relation.
Nous conclurons donc avec l’aspect de la maturité de l’histoire. Après le premier tome qui se révélait être un josei à la vue de la maturité du scénario, ici nous tombons à certains moments dans une certaine « gaminerie » qui est propre à l’univers shojo. Mais nous repasserons, de toute façon, assez vite dans le train quotidien qui nous rappelle que nous sommes avec des adultes et non des adolescents.
19/09/2018 
