Kuroneko - La passion Vol.1 - Actualité manga
Kuroneko - La passion Vol.1 - Manga

Kuroneko - La passion Vol.1 : Critiques

Kuroneko Kareshi no Amekata

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 24 Décembre 2015

Aya Sakyo ne s’arrête pas et ne compte pas lâcher de sitôt Shingo et Kagami ! Elle compte bien développer leur histoire de bout en bout. Que se passe-t-il donc dans cette suite des deux premiers tomes déjà sortis de Kuroneko ? Je vais essayer de résumer l’histoire en occultant les (très) nombreuses scènes de sexe. Shingo est toujours un peu sur la défensive malgré la réciprocité de leurs sentiments, il ne se sent pas à l’aise au point de s’ouvrir complètement à Kagami (sans mauvais jeu de mots). Ce dernier continue donc de l’inviter chez lui, attendri devant les efforts de son petit chat noir pour mieux le connaître. Celui-ci a notamment acheté un des premiers DVD dans lequel son amant apparaît et compter le visionner avec lui. Heureux, le grand léopard propose au petit chat d’emménager ensemble suite à quoi il se voit répondre un non ferme et définitif. Encore une fois, le petit chat est réticent, peureux et freine des quatre fers devant l’engagement. Mais ça, Kagami est incapable de le comprendre malgré sa grande finesse psychologique. Et donc, c’est prétexte à un moment de malaise !

Shingo se pose beaucoup de questions sur le couple, et si la démarche est louable la réalisation est un peu trop légère et entrecoupée de sexe pour se montrer convaincante. Du coup, la remise en doute et l’angoisse ne durent pas bien longtemps avant que les deux hommes n’emménagent ensemble. On aurait aimé plus d’attente, plus de réticences de la part de Shingo, éternel célibataire. A noter que le cliffangher de fin est de toute beauté. En résumé ? Un tome dispensable selon moi, qui n’apporte pas grand-chose à l’histoire pourtant en évolution de nos deux héros. L’idée de montrer les différentes étapes de leur relation est plutôt bonne, car trop rare dans les boy’s love, ceci dit c’est malheureusement traité trop simplement et rapidement. D’autant plus que tout se réduit par une partie de jambe en l’air même lorsque Shingo proteste. Par contre, ceux qui lisent la série pour les scènes intimes seront servis : c’est un festival, plutôt cru et donc réussi pour les amateurs.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
13 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs