Kurohime Vol.12 : Critiques

Kurohimé a été avalée par le Palais du Lion, suivie par Sword. Cette dernière a fait un pacte avec la châtelaine, Marion, dans le but d'exterminer Kurohimé. Mais Marion a un autre plan bien plus diabolique en tête. Si bien que Kurohimé et la Brigade des Prédateurs se retrouvent pris au piège. Kurohimé leur propose une trêve provisoire, mais Sword, brûlante de jalousie, ne veut rien entendre et attaque Kurohimé !!

Le voyage spatio-temporel de Kurohimé continue dans ce volume où la belle va devoir achever cette lutte qui oppose les pistoleros au Palais du Lion. Alors que cette dernière a été avalée à l'intérieur de ce château, notre héroïne va devoir lutter contre l'arme principale cachée au centre du Lion, une arme qui capture les âmes afin de faire naître un Dieu de la Mort ! Mais la tâche ne sera pas simple car Sword est également déterminée à anéantir une bonne fois pour toute sa plus grande rivale ! Commence donc une lutte sans merci où la fin de cette guerre débouchera peut être sur de nouvelles surprises pas forcément des plus attendues...

Nous voici donc un tome bourré d'action comme souvent dans la série. Au programme des combats en tout genre, toujours aussi impressionnants d'autant plus que les combattants sont nombreux et chacun d'un clan différent. Cependant, il faut avouer que ce tome est légèrement en deçà du reste, pas mauvais loin de là mais juste un peu trop classique dans sa mise en scène, l'auteur ne cherchant pas trop à se renouveler ce qui est bien dommage. Bien qu'il est agréable de voir le retour de Sword et de comprendre quelques petites clés du récit, le tout bien que sur-vitaminé contente le lecteur simplement, sans chercher à aller au-delà de ça.
D'ailleurs, espérons que ce voyage dans le temps ne dure pas trop longtemps dans la série car il faut avouer que la volonté de tout lecteur est bien sûr de voir Kurohimé avancer dans son époque actuelle, surtout lorsque l'on sait qu'il y a ce fameux Dark Zéro...

Un tome assez "facile" donc, dans la lignée de la série certes mais dont on était en mesure d'en attendre davantage.