In God's arms Vol.4 : Critiques

Kamisama no Ude no Naka

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 01 Octobre 2012

t donc, voici venu le dernier volume de In God’s arms. Le dernier ? Mais … mais non ! C’est trop tôt. Bien trop tôt, bien trop précipité. On en veut plus, encore, tant la série qu’on ne pensait pas prometteuse s’est avérée plaisante, addictive et réellement plaisante. Son humour, son originalité, sa diversité des couples, tout ça va bien nous manquer. Surtout que la dernière histoire est aussi réussie que le reste, voir plus. Sacha est un des élèves de l’école que l’on connait bien, mais il est aussi l’héritier de la société Merbank, et ça n’a pas de prix. Ce qui fait que, par son nom, tout le monde est à ses pieds et à ses ordres. Il regarde souvent les autres de haut, mais c’est encore pire avec Ayato, le fils de la société Forest. Son père aurait soit disant causé du tord à celui de Sacha, ce qui fait que ce dernier déteste Ayato sans même se justifier. Et il participe aux moqueries dont les autres élèves l’accablent. Bref, un vrai connard qui ne s’en rend même pas compte malgré les mises en garde de son majordome. Mais le destin tourne toujours, et quand c’est le cas Sacha va le regretter. Longtemps.

Ayato va alors tout faire pour faire payer Sacha, pour le faire regretter ses actes. Il lui rend en pire, avec toute la violence de sa rancune accumulée. Autant dire que Sacha va avoir mal. Et il va aussi apprendre à se débrouiller seul. Pire, à obéir. L’histoire est sombre, profonde mais finit bien évidemment sur une note positive. De plus, le sexe est loin d’être l’intérêt principal de cette histoire puisqu’il n’y en a que peu. On savoure donc pleinement les émotions qui sont mises en mots et en dessins dans cet ultime tome qu’on regrette déjà. Malgré un revirement un peu facile de Sacha, le côté « dépendance à l’autre » et la volonté de lutter mais d’être reconnu dans le même temps, rend le tome passionnant. Jusqu’au bout on se demande comment cela va bien pouvoir se terminer. C’est donc un très bon volume, encore une fois, et avec une profondeur un peu plus importante qu’auparavant. Mais c’est dur de s’en séparer, parce que cette série était une bouffée d’air frais dans les sorties yaoi.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
17 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs