Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 07 Janvier 2020
Après un troisième tome riche en événements et surtout en émotions, le retour au calme sera de courte durée pour notre petit groupe. Direction le hameau de la grand mère de Mayuzumi pour tenter d’y trouver des réponses à leurs questions...
Et comme on pouvait s’y attendre : la fin est bâclée. Comme je l’ai rarement vu. En même temps, j’ai tendance à éviter les séries « raccourcies » pour diverses raisons. A la rigueur, je préfère une série sans fin, au moins on est libre d’imaginer ce qu’on veut comme conclusion. Ici, on a l’impression que le combat final contre cette société secrète a été expédiée en deux deux. Pourtant, le tome commençait bien, nous présentant plus ou moins l’origine des sorcières, mais... quand il ne reste qu’une centaine de pages, on ne peut qu’expédier un tel affrontement, surtout avec des personnages aussi anecdotiques que les ennemis. Excepté un qui était là depuis le début, les autres ont fait de brève apparitions, n’ont jamais vraiment montré leur force, donc comment les prendre au sérieux ? Bref, il aurait fallu au moins un tome de plus pour avoir cet affrontement épique où tout du moins psychologique qu’on aurait voulu, et qu’ils nous ont offert dans le précédent tome avec Miura ! Un beau gâchis, c’est tout ce qu’il me reste à dire !
En somme, « Helvetica » fut une série très étrange. Son univers, ses règles, ses enjeux auraient pu donner vie à une véritable série noire et palpitante à suivre, mais au final, on a plutôt un effet de pétard mouillé. Énormément de personnages nous sont présentés, pour peu de résultats les concernant, si ce n’est notre groupe de sorcières principales. Le dessin, bien que très beau et stylisé, n’apportait pas assez de nuances dans les visages de ses protagonistes, et, pour ma part j’étais souvent perdu, à me demander qui était qui. Ce n’est pas une catastrophe, je considérerais ça plutôt comme une sorte de prototype raté d’un bon concept. J’espère en tout cas retrouver ces auteurs plus tard, avec quelque chose de plus abouti !
Et comme on pouvait s’y attendre : la fin est bâclée. Comme je l’ai rarement vu. En même temps, j’ai tendance à éviter les séries « raccourcies » pour diverses raisons. A la rigueur, je préfère une série sans fin, au moins on est libre d’imaginer ce qu’on veut comme conclusion. Ici, on a l’impression que le combat final contre cette société secrète a été expédiée en deux deux. Pourtant, le tome commençait bien, nous présentant plus ou moins l’origine des sorcières, mais... quand il ne reste qu’une centaine de pages, on ne peut qu’expédier un tel affrontement, surtout avec des personnages aussi anecdotiques que les ennemis. Excepté un qui était là depuis le début, les autres ont fait de brève apparitions, n’ont jamais vraiment montré leur force, donc comment les prendre au sérieux ? Bref, il aurait fallu au moins un tome de plus pour avoir cet affrontement épique où tout du moins psychologique qu’on aurait voulu, et qu’ils nous ont offert dans le précédent tome avec Miura ! Un beau gâchis, c’est tout ce qu’il me reste à dire !
En somme, « Helvetica » fut une série très étrange. Son univers, ses règles, ses enjeux auraient pu donner vie à une véritable série noire et palpitante à suivre, mais au final, on a plutôt un effet de pétard mouillé. Énormément de personnages nous sont présentés, pour peu de résultats les concernant, si ce n’est notre groupe de sorcières principales. Le dessin, bien que très beau et stylisé, n’apportait pas assez de nuances dans les visages de ses protagonistes, et, pour ma part j’étais souvent perdu, à me demander qui était qui. Ce n’est pas une catastrophe, je considérerais ça plutôt comme une sorte de prototype raté d’un bon concept. J’espère en tout cas retrouver ces auteurs plus tard, avec quelque chose de plus abouti !
14/11/2019 