GTO Vol.5 : Critiques

La première partie de tome est consacrée à la prise en charge de Tomoko par Onizuka, bien décidé à en faire une star. En faisant jouer ses contacts, Onizuka met surtout en valeur les atouts physiques de son élève.

Mais malgré le mal qu'il se donne pour ses élèves, Onizuka est menacé. Le sous-directeur Uchiyamada n'en démord pas, il faut exclure Onizuka du collège. Or, le sous-directeur est pris en flagrant délit d'attouchement sur lycéenne dans le train... et Onizuka l'aperçoit ! Contre toute attente, Onizuka décide de ne pas révéler cette affaire aux autres enseignants, Uchiyamada mettant à l'écart sa haine et remettant en cause l'exclusion du Great Teacher. Onizuka se serait-il définitivement mis son sous-directeur dans la poche ? Rien n'est moins sûr !

Enfin, le professeur de mathématiques Teshigawara est de plus en plus obsédé par son attirance pour Azusa Fuyutsuki et sa haine de Onizuka.

Partout Onizuka a des ennemis... mais ce professeur de maths semble plus dangereux que les autres.

Le tome s'achève sur un arrosage en bonne et due forme de la présidente de l'association des parents d'élèves par un Onizuka déguisé en éléphant. 

Des situations absurdes, un graphisme déjanté, GTO est classique mais toujours efficace.

Rogue