Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 26 Décembre 2013
Critique 1
Pas de scènes chaudes ou dénudées dans ce tome, qui laisse toute la place à l’action et aux corps déchiquetés. Ça fait plaisir, mais ça ne fait guère avancer l’intrigue principale, l’histoire stagne, ce qui pourrait finir par devenir lassant. Reste que le dessin est toujours aussi superbe à l’œil du moment que l’on apprécie le travail réalisé à la palette graphique.
Côté adaptation, 2 pages couleur viennent agrémenter le volume (comme pour le tome 6), mais celui-ci souffre d’un mauvais découpage surtout au début ou certaines bulles près du bord sont très limites. Pour le reste c’est parfait rien à redire.
Critique 2
La bataille contre les statues bouddhiques continue dans ce septième opus de Gantz, qui va ravir les amateurs d'action et de sensations fortes !
Comme on s'en doutait, les deux statues gardiennes de quelques mètres n'étaient en fait qu'une mise en bouche avant l'arrivée d'ennemis bien plus coriaces ! Nos héros vont ainsi devoir affronter une légion de statues (à taille humaine), mais aussi et surtout un immense Bouddha, tellement volumineux qu'il est quasi-insensible aux pistolets des gantzers...
Cependant, dans la continuité du précédent opus, Kei Kurono, décidément en pleine forme, va trouver une solution ingénieuse pour terrasser cet ennemi gigantesque... La mission est-elle pour autant terminée ? Eh bien non, car quand il n'y en a plus, il y en a encore... Place à la troisième salve de statues !
Les nouvelles créatures qui vont apparaître vont être encore plus dangereuses, et alors qu'on ne s'y attendait pas, Hiroya Oku va nous amener à un retournement de situation qui va nous laisser pantois !
Jamais la situation des gantzers n'a été aussi désespérée... certains perdront la vie, tandis que d'autres seront entre la vie et la mort... La dernière page est un énorme cliffhanger qui nous laisse dans l'incertitude quant au devenir des personnages... tant et si bien qu'on a envie de lire la suite le plus vite possible !
Un excellent volume, particulièrement haletant !
Pas de scènes chaudes ou dénudées dans ce tome, qui laisse toute la place à l’action et aux corps déchiquetés. Ça fait plaisir, mais ça ne fait guère avancer l’intrigue principale, l’histoire stagne, ce qui pourrait finir par devenir lassant. Reste que le dessin est toujours aussi superbe à l’œil du moment que l’on apprécie le travail réalisé à la palette graphique.
Côté adaptation, 2 pages couleur viennent agrémenter le volume (comme pour le tome 6), mais celui-ci souffre d’un mauvais découpage surtout au début ou certaines bulles près du bord sont très limites. Pour le reste c’est parfait rien à redire.
Critique 2
La bataille contre les statues bouddhiques continue dans ce septième opus de Gantz, qui va ravir les amateurs d'action et de sensations fortes !
Comme on s'en doutait, les deux statues gardiennes de quelques mètres n'étaient en fait qu'une mise en bouche avant l'arrivée d'ennemis bien plus coriaces ! Nos héros vont ainsi devoir affronter une légion de statues (à taille humaine), mais aussi et surtout un immense Bouddha, tellement volumineux qu'il est quasi-insensible aux pistolets des gantzers...
Cependant, dans la continuité du précédent opus, Kei Kurono, décidément en pleine forme, va trouver une solution ingénieuse pour terrasser cet ennemi gigantesque... La mission est-elle pour autant terminée ? Eh bien non, car quand il n'y en a plus, il y en a encore... Place à la troisième salve de statues !
Les nouvelles créatures qui vont apparaître vont être encore plus dangereuses, et alors qu'on ne s'y attendait pas, Hiroya Oku va nous amener à un retournement de situation qui va nous laisser pantois !
Jamais la situation des gantzers n'a été aussi désespérée... certains perdront la vie, tandis que d'autres seront entre la vie et la mort... La dernière page est un énorme cliffhanger qui nous laisse dans l'incertitude quant au devenir des personnages... tant et si bien qu'on a envie de lire la suite le plus vite possible !
Un excellent volume, particulièrement haletant !
28/11/2018 