Gantz Vol.3 - Actualité manga
Gantz Vol.3 - Manga

Gantz Vol.3 : Critiques

Gantz

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 25 Novembre 2013

Critique 1


Retour à la vie de lycéen pour Kei, retour plutôt difficile après ce qu’il vient de vivre, il est relativement désorienté et on le comprend…mais la chance lui sourit, son homonyme, la superbe Kei lui demande si elle peut habiter chez lui pendant un moment : et voilà notre adolescent qui fantasme à tout va ! (et là aussi on le comprend aisément).
Tout ça pour dire que l’auteur nous propose une nouvelle fois du fan service à tout va qui ne sert vraiment à rien pour son histoire qui reste toujours aussi confuse mais toujours aussi intrigante.



Et voilà nos héros rappelés dans l’appartement mystérieux avec de nouveaux morts (dont on a découvert la mort aux chapitres précédents…parfois dures…). Problème : Kei a oublié sa combinaison, et il se retrouve téléporté en premier, pile devant un extraterrestre…presque aussi ridicule que le précédent (le fils, pas le père) qui est inspiré d’un chanteur célèbre au Japon.
On sort de la lecture de ce tome avec peu d’infos supplémentaires, mais on commence à en faire notre parti, et on lit comme ça vient sans se poser plus de questions !


Critique 2


Après deux tomes assez nerveux, Hiroya Oku change radicalement l'ambiance de son récit en nous faisant découvrir le quotidien de ses héros, qui sont revenus dans la vie réelle après les éprouvants évènements relatés dans les deux premiers opus du manga.

On retrouve donc Keï Kurono, Kei Kishimoto et Masaru Kato en plein coeur de Tokyo, chacun essayant de reprendre la vie qu'il avait avant que cette incroyable aventure ne commence. Si Kurono et Kato semblent prendre avec une certaine sérénité les choses, il n'en va pas de même pour Kishimoto, qui s'est rendue compte avec effroi qu'un double d'elle même a pris sa place dans sa famille, alors qu'elle se trouvait dans le monde de Gantz. Un évènement qui n'a pas touché les autres protagonistes de notre histoire. Ne sachant que faire, Kishimoto va se réfugier chez Kurono, et une drôle de relation va démarrer entre ces deux personnages.

En effet, sans doute pour obtenir plus facilement son hospitalité, Kishimoto a fait une drôle de proposition à Kurono, en lui demandant de l'accepter en tant qu'animal de compagnie. Ce dernier, très attiré par cette jeune fille aux courbes si généreuses, va bien évidemment accepter cette offre, s'imaginant qu'elle satisfera tous ses désirs lubriques... A plusieurs moments, Kurono va donc tenter de séduire la belle, sans prendre de gants... On se souviendra notamment de la scène particulièrement malsaine où Kurono, rappelant à Kishimoto son statut d'animal de compagnie, la caressera sans aucune gêne ni remords, en prétextant qu'il faisait pareil avec son chien... Assez vomitif, n'est pas ?

De son côté, Kato continue de s'afficher en preux chevalier. On le retrouvera dans son lycée, en train de défendre des pauvres otaku victimes de racket. On constate qu'Hiroya Oku accentue toujours autant la différence entre les deux protagonistes de son récit, avec un Kurono écœurant et un Kato en défenseur de la justice...

A la fin du tome, nous héros sont de nouveau appelés par Gantz, pour une nouvelle "chasse au monstre". De nouveaux personnages (à l'espérance de vie sans doute très courte) rejoignent donc les chasseurs de la précédente partie. Le 4ème tome promet de nouveaux affrontements, qu'on espère de grande qualité !

En définitive, malgré quelques passages assez dérangeants, ce troisième tome de Gantz est assez sympa à lire, car il nous fait découvrir nos trois héros ancrés dans un univers réel, ce qui nous permet de suivre leur évolution. Une évolution sans doute plus marquée chez Kurono, qui prend confiance en lui après avoir ramené dans le monde réel l'armure dont il s'est servie pour vaincre l'homme poireau, et qui lui donne une très grande force... Toujours aussi détestable, ce personnage n'en reste pas moins le plus intéressant de la série, car Kato est toujours aussi lisse et Kishimoto toujours aussi inutile, sauf pour nous dévoiler ses formes dans des scènes de pur fan service !




Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs