Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 05 Mai 2021
Depuis que la fada de jeux vidéo Kozakura a recueilli le jeune chat Omusubi, son quotidien travail-jeux vidéo-dodo n'est plus tout à fait le même, et ce n'est certainement pas ce troisième volume qui démontrera le contraire !
Quand la jeune femme compte faire une optimisation horaire de ses journées pour pouvoir achever totalement un jeu vidéo (comprendre par là qu'elle dormira beaucoup moins), le félin risque de troubler un peu son court sommeil. Quand elle joue en ligne, Omusubi risque de provoquer quelques mignons petits couacs à base d'escalade d'écran et de pattes sur le clavier. Quand elle veut l'affubler d'un chapeau pour chat gagné dans une machine, ça s'annonce délicat. Sans oublier l'entretien de l'animal, à commencer par le besoin de lui couper les griffes ou de lui donner un bain...
Au fil de 9 chapitres généralement (mais pas toujours) indépendants, Wataru Nadatani ne change pas sa recette, et trouve encore de quoi faire pour amuser.
Bien sûr, cela passe par l'utilisation du chat Omusubi qui reste assez bien vue, autant dans pas mal de ses comportements plutôt réalistes pour quiconque a déjà eu un chat (mais qui ne sont pas toujours évidents à comprendre pour notre héroïne) que dans les visuels jouant fort bien sur ces comportements, avec un paquet de bouilles félines qui font leur effet.
Mais à ça, il faut ajouter les petits clins d'oeil détournés à des licences vidéoludiques bien connues (comme Dragon Quest, Minecraft, Monster Hunter...), et surtout l'utilisation faite du statut de gameuse hardcore de Kozakura. Par exemple, la voici qui compare les longues griffes cachées dans les pattes du chat aux lames secrètes d'un assassin de jeu vidéo, la peluche qu'elle donne au félin à un personnage de type tank, son matériel pour lui donner un bain à un équipement de RPG, un panier à linge à une jarre où trouver des items, etc, etc...
On sent alors que le mangaka n'est toujours pas en panne de petites idées, ce qui donne lieu à une lecture dans la droite lignée des deux précédents volumes: sans grosse prétention, mais amusant, assez attachant, et donc efficace, pour un nouveau bon moment à passer.
Quand la jeune femme compte faire une optimisation horaire de ses journées pour pouvoir achever totalement un jeu vidéo (comprendre par là qu'elle dormira beaucoup moins), le félin risque de troubler un peu son court sommeil. Quand elle joue en ligne, Omusubi risque de provoquer quelques mignons petits couacs à base d'escalade d'écran et de pattes sur le clavier. Quand elle veut l'affubler d'un chapeau pour chat gagné dans une machine, ça s'annonce délicat. Sans oublier l'entretien de l'animal, à commencer par le besoin de lui couper les griffes ou de lui donner un bain...
Au fil de 9 chapitres généralement (mais pas toujours) indépendants, Wataru Nadatani ne change pas sa recette, et trouve encore de quoi faire pour amuser.
Bien sûr, cela passe par l'utilisation du chat Omusubi qui reste assez bien vue, autant dans pas mal de ses comportements plutôt réalistes pour quiconque a déjà eu un chat (mais qui ne sont pas toujours évidents à comprendre pour notre héroïne) que dans les visuels jouant fort bien sur ces comportements, avec un paquet de bouilles félines qui font leur effet.
Mais à ça, il faut ajouter les petits clins d'oeil détournés à des licences vidéoludiques bien connues (comme Dragon Quest, Minecraft, Monster Hunter...), et surtout l'utilisation faite du statut de gameuse hardcore de Kozakura. Par exemple, la voici qui compare les longues griffes cachées dans les pattes du chat aux lames secrètes d'un assassin de jeu vidéo, la peluche qu'elle donne au félin à un personnage de type tank, son matériel pour lui donner un bain à un équipement de RPG, un panier à linge à une jarre où trouver des items, etc, etc...
On sent alors que le mangaka n'est toujours pas en panne de petites idées, ce qui donne lieu à une lecture dans la droite lignée des deux précédents volumes: sans grosse prétention, mais amusant, assez attachant, et donc efficace, pour un nouveau bon moment à passer.
18/10/2023 