Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 25 Mars 2021
Depuis que Riko Kozakura, 29 ans, a recueilli chez elle le chaton qu'elle a nommé Ômusubi, elle a déjà vu changer sa vie jusque-là partagée entre son travail de salariée et ses loisirs casaniers de gameuse hardcore. En effet, il s'avère que le petit félin prend forcément de la place... et ça ne risque pas de s'arranger ! Mais est-ce pour son malheur ou son bonheur ?
Après un premier tome bien campé, ce deuxième volume voit le mangaka Wataru Nadatani récidiver, au gré de ce à quoi Riko se frotte avec son nouveau "colocataire".
Ici, elle doit tout faire pour que sa collègue ne découvre pas que c'est elle qui tient le compte-photos en vogue. Là, elle découvre qu'il existe des applis pour chats, avec des jeux tactiles dédiés aux félins. Puis la voici à la découverte des arbres chats et autres friandises et habits pour félins...
Et si la jeune femme a forcément encore des doutes sur comment bien s'occuper de la petite boule de poils, heureusement elle peut compter sur les conseils d'Ôbayashi aka "madame la PNJ", la vendeuse de l'animalerie, avec qui elle sympathise ! Car avoir un animal compagnie a aussi cette vertu là: permettre de nouer plus de contacts et d'agrandir un petit peu son monde, ce qui ne sera pas forcément un mal pour notre invétérée gameuse casanière.
A noter que ce volume est également marqué par l'irruption de Maï, la petite soeur étudiante de 20 ans de Riko, avec à la clé quelques moments félins et vidéoludiques sympathiques.
En en filigranes, bien sûr, l'auteur ne rate aucune occasion de mettre en avant le jeune protégé à poils de Riko, Ômusubi continuant ici d'être un beau représentant de tout ce que peut être un petit chat, avec son lot de petites bêtises mais aussi d'instant câlins affectueux et de jeux délirants ou attendrissants.
Et évidemment, notre héroïne régale toujours autant avec ses manies de gameuse, notamment quand elle parle de son chat comme d'un personnage de jeu vidéo. En cela, la traduction de Pénélope Roullon-Ishihara reste toujours aussi efficace.
Dans la droite lignée du tome 1, ce deuxième volume de La gameuse et son chat s'avère alors tout aussi sympathique, en offrant son lot de moments drôles ou attachants ainsi que quelques petits enrichissements bienvenus.
Après un premier tome bien campé, ce deuxième volume voit le mangaka Wataru Nadatani récidiver, au gré de ce à quoi Riko se frotte avec son nouveau "colocataire".
Ici, elle doit tout faire pour que sa collègue ne découvre pas que c'est elle qui tient le compte-photos en vogue. Là, elle découvre qu'il existe des applis pour chats, avec des jeux tactiles dédiés aux félins. Puis la voici à la découverte des arbres chats et autres friandises et habits pour félins...
Et si la jeune femme a forcément encore des doutes sur comment bien s'occuper de la petite boule de poils, heureusement elle peut compter sur les conseils d'Ôbayashi aka "madame la PNJ", la vendeuse de l'animalerie, avec qui elle sympathise ! Car avoir un animal compagnie a aussi cette vertu là: permettre de nouer plus de contacts et d'agrandir un petit peu son monde, ce qui ne sera pas forcément un mal pour notre invétérée gameuse casanière.
A noter que ce volume est également marqué par l'irruption de Maï, la petite soeur étudiante de 20 ans de Riko, avec à la clé quelques moments félins et vidéoludiques sympathiques.
En en filigranes, bien sûr, l'auteur ne rate aucune occasion de mettre en avant le jeune protégé à poils de Riko, Ômusubi continuant ici d'être un beau représentant de tout ce que peut être un petit chat, avec son lot de petites bêtises mais aussi d'instant câlins affectueux et de jeux délirants ou attendrissants.
Et évidemment, notre héroïne régale toujours autant avec ses manies de gameuse, notamment quand elle parle de son chat comme d'un personnage de jeu vidéo. En cela, la traduction de Pénélope Roullon-Ishihara reste toujours aussi efficace.
Dans la droite lignée du tome 1, ce deuxième volume de La gameuse et son chat s'avère alors tout aussi sympathique, en offrant son lot de moments drôles ou attachants ainsi que quelques petits enrichissements bienvenus.
18/10/2023 