Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 12 Décembre 2016
Tombé dans les filets de Saki, Monsieur Tatsumi emprunte de l'argent pour lui remettre la somme astronomique de 50 millions de yens. Un montant faramineux qui doit financer la nouvelle vie de Saki avec son compagnon et sa fille Kaoru... Malheureusement, tout ceci est un immense mensonge tendu par Saki, qui s'impose de plus en plus dans son rôle de manipulatrice au cœur de glace.
Après plusieurs retournements de situation rocambolesques (l'auteur nous fera dans un premier temps croire que Monsieur Tatsumi n'est pas le père de Kaoru, pour ensuite affirmer le contraire, avant de finalement nous laisser dans l'incertitude), c'est en définitive l'attitude compréhensive et altruiste de Yukari qui va apporter un certain apaisement à une situation très douloureuse pour Kaoru et ses parents. L'oncle (ou la tante selon le point de vue) de Masahiko incarne avec brio cette image de personnage au cœur pur qu'on aime suivre dans une œuvre où la tolérance est à la base du récit.
Par la suite, Tsukasa Hojo va nous proposer plusieurs histoires auto-conclusives en un ou deux chapitres. On découvrira les déboires du club de cinéma, qui peine à financer ses projets et à trouver de nombreux membres, tant et si bien que le président et Ejima vont demander à Masahiko de "se sacrifier" en se grimant une fois de plus en fille afin d'amener des fonds et de la main d’œuvre au club.
On suivra également Sora en voyage de repérage, dont le but est de prendre photos pour son manga. Sora sera accompagné par son éditrice, Madame Mori, et cette dernière agira un peu bizarrement en présence du mangaka, ne sachant pas s'il faut la considérer en homme ou en femme lors de certaines situations. Bien évidemment, divers quiproquos mis en place par l'auteur iront brouiller encore un peu plus la façon dont Madame Mori perçoit les choses en compagnie de Sora...
Le chapitre le plus intéressant du tome sera le dernier de la série. Nous en apprendrons plus sur la naissance et les circonstances qui ont amenées à la conception de Shion. On retrouvera avec plaisir Sora et Yukari en jeunes adultes, avec des désirs différents et qui vont un peu s'entrechoquer. Cependant, à cette époque ces deux-là s'aimaient déjà d'un amour profond et sincère, qui leur a permis de trouver une solution qui a abouti à la naissance de Shion quelque temps plus tard.
Un beau récit qui rehausse la qualité de ce dixième tome, qui jusqu'à présent ne proposait pas des chapitres amusants mais pas inoubliables.
Après plusieurs retournements de situation rocambolesques (l'auteur nous fera dans un premier temps croire que Monsieur Tatsumi n'est pas le père de Kaoru, pour ensuite affirmer le contraire, avant de finalement nous laisser dans l'incertitude), c'est en définitive l'attitude compréhensive et altruiste de Yukari qui va apporter un certain apaisement à une situation très douloureuse pour Kaoru et ses parents. L'oncle (ou la tante selon le point de vue) de Masahiko incarne avec brio cette image de personnage au cœur pur qu'on aime suivre dans une œuvre où la tolérance est à la base du récit.
Par la suite, Tsukasa Hojo va nous proposer plusieurs histoires auto-conclusives en un ou deux chapitres. On découvrira les déboires du club de cinéma, qui peine à financer ses projets et à trouver de nombreux membres, tant et si bien que le président et Ejima vont demander à Masahiko de "se sacrifier" en se grimant une fois de plus en fille afin d'amener des fonds et de la main d’œuvre au club.
On suivra également Sora en voyage de repérage, dont le but est de prendre photos pour son manga. Sora sera accompagné par son éditrice, Madame Mori, et cette dernière agira un peu bizarrement en présence du mangaka, ne sachant pas s'il faut la considérer en homme ou en femme lors de certaines situations. Bien évidemment, divers quiproquos mis en place par l'auteur iront brouiller encore un peu plus la façon dont Madame Mori perçoit les choses en compagnie de Sora...
Le chapitre le plus intéressant du tome sera le dernier de la série. Nous en apprendrons plus sur la naissance et les circonstances qui ont amenées à la conception de Shion. On retrouvera avec plaisir Sora et Yukari en jeunes adultes, avec des désirs différents et qui vont un peu s'entrechoquer. Cependant, à cette époque ces deux-là s'aimaient déjà d'un amour profond et sincère, qui leur a permis de trouver une solution qui a abouti à la naissance de Shion quelque temps plus tard.
Un beau récit qui rehausse la qualité de ce dixième tome, qui jusqu'à présent ne proposait pas des chapitres amusants mais pas inoubliables.
18/07/2012 