Fabuleux destin de Taro Yamada (le) Vol.9 : Critiques

Critique 2

Taro stresse de plus en plus, car sa mère accouchera bientôt et il faut qu’il trouve de l’argent pour payer les frais liés à l’accouchement. A la recherche de petits boulots, il décide d’accepter un travail dans un club d’hôtes très original. Taro fait tout pour que personne ne le sache, mais Keiichi découvre la vérité. Et les difficultés de Taro pour gagner de l’argent ne font qu’augmenter quand débarqueront les grands-parents…

Nous sommes au neuvième tome de cette série et l’auteur utilise toujours le même schéma de narration c’est-à-dire la quête d’un nouveau moyen d’avoir de l’argent, l’atteinte de ce but, mais qui sera complètement à la fin anéantie par la mère insouciante. Malheureusement, à ne pas innover, nous commençons à sentir une certaine lassitude dans les découvertes des petites péripéties de Taro. Cette fois-ci, Taro trouve un travail quelque peu original dans un bar ou il doit jouer l’hôte en se cosplayant. Alors qu’il veut garder cela secret, Keiichi découvre les faits et à son tour il devient hôte. L’auteur joue sur les costumes surtout avec Keiichi et crée des scènes plus cocasses les unes que les autres. En parallèle, nous découvrons les grands parents médecins de Taro. Mais, il serait bien imprudent de croire qu’ils pourront aider financièrement.  Face à tous ces instants drôles, l’humour japonais peut nous dérouter et faire complètement fausse route quand l’auteur décide de faire flasher Keiichi sur la petite sœur de Taro, âgée toujours de neuf ans.

Dans ce volume l’auteur peut nous offrir autant des situations mignonnes et drôles autant des passages avec un humour dérangeant et qui ne fonctionne pas du tout. De plus, voir à chaque fois la mère anéantir tous les efforts de son fils qui se démène pour avoir de l’argent, commence à nous exaspérer. Ce tome aurait pu nous laisser une bonne impression s’il n’y avait pas eu toutes ces fausses notes.

Critique 1

Encore une fois, Ai Morinaga nous prouve que son imagination est sans limites. Au menu de ce volume: Taro qui travaille dans un club de cosplay, la rencontre avec de grands parents aussi déjantés que le reste de la famille ainsi que l'arrivée de nouveaux petits Yamada. Keiichi, le garçon qui est attiré malgré lui par Taro, sera également très présent et toujours aussi hilarant avec ses facéties. De nombreuses aventures comiques attendent alors Taro et ses amis dans ce tome et elles sont toujours aussi drôles. Comme à son habitude, l'auteur introduit de nouveaux personnages tout en continuant à mettre en scène ceux qui sont les plus hilarants. Ce volume est donc aussi délirant que les précédents et on ne s'ennuie pas une seconde devant notre lecture.

Pour ce qui est des graphismes, au-delà de ses visages bien dessinés et des proportions agréablement respectées, on peut voir dans ce tome que l'auteur affectionne beaucoup de représenter les tenues de ses personnages, notamment celles du fameux club de cosplay dans lequel Taro va devoir travailler.
Les aventures du plus grand radin du monde sont donc toujours aussi drôles et pour l'instant on ne s'en lasse pas. J'attends avec toujours autant d'impatience la suite de ce manga et je ne suis jamais déçue.