Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 23 Février 2022
Après un nouveau périple, les habitants de Phaleina sont arrivés à Kivotos, une contrée dont on dit que c'est le premier endroit où les Noûs sont tombés sur Terre, que le monde y est né et qu'il s'y éteindra. Malheureusement, ils apprennent vite, de la bouche des habitants des lieux, que Kivotos possède le même pouvoir et souffre de la même malédiction que la Baleine de glaise... mais leur espoir renaît quand Twilly leur fait part de l'existence, plus au sud de la contrée, d'une bourgade où personne ne subit l'influence des Noûs.
La nouvelle halte de Chakuro et de ses amis, pressentie comme la toute dernière halte de leur tumultueux voyage, s'annonce alors particulièrement importante, puisqu'ils pourraient tout bonnement y trouver enfin l'endroit qu'ils espéraient tant dénicher, à savoir un lieu où ils pourraient tous vivre sereinement, y compris les marqués qui ne verraient pas leur énergie vitale dévorée. Dès lors, toute une part de ce volume se consacre à leur découverte des lieux, à leurs premiers pas dans cette fameuse bourgade, aux prémices de leur installation avec des habitations à construire, à une découverte un peu plus prononcée de certains des habitants et de certaines coutumes leur rappelant bien des choses (en tête, les cérémonies funéraires qui, une fois de plus, leur rappelle le souvenir chéri des leurs compagnons disparus), le tout dans une atmosphère accueillante. Et cela, malgré certains tourments plus personnels, à commencer par ceux d'un Roxalito regrettant que sa contrée d'Amolongia n'ait pas su accueillir ainsi les habitants de Phaleina. Et sans oublier tout ce que Lycos, Chakuro, Suoh et les autres doivent malgré tout à leur bonne vieille Baleine de glaise.
On suit donc tout ceci avec un certain attachement, porté par l'espoir de voir enfin les enfants de la Baleine de glaise trouver un endroit où vivre dans la paix et le bonheur... mais Abi Umeda, en parallèle, et même dès les premières pages du tome, ne manque jamais la moindre occasion de nous rappeler que la menace persiste à travers le plus dangereux de tous les ennemis: l'intrigant et mystère Empereur, que nous laissions sur un moment terrible en fin de tome précédent puisque, sous les yeux horrifiés d'Atsali, il a sacrifié sans émotion une grande partie de son peuple, de son pays. Et à présent, pour accomplir ses desseins, le voici en route pour Kivotos...
Entre les histoires de prophétie, les signes annonciateurs d'un grand désastre, et l'énigmatique connexion que Chakuro continue d'avoir avec cet empereur lui ressemblant comme deux gouttes d'eau, Umeda entretient vraiment bien ici ce parfum de danger/drame imminent, jusqu'à des dernières pages terribles et relançant de plus belle le récit.
La nouvelle halte de Chakuro et de ses amis, pressentie comme la toute dernière halte de leur tumultueux voyage, s'annonce alors particulièrement importante, puisqu'ils pourraient tout bonnement y trouver enfin l'endroit qu'ils espéraient tant dénicher, à savoir un lieu où ils pourraient tous vivre sereinement, y compris les marqués qui ne verraient pas leur énergie vitale dévorée. Dès lors, toute une part de ce volume se consacre à leur découverte des lieux, à leurs premiers pas dans cette fameuse bourgade, aux prémices de leur installation avec des habitations à construire, à une découverte un peu plus prononcée de certains des habitants et de certaines coutumes leur rappelant bien des choses (en tête, les cérémonies funéraires qui, une fois de plus, leur rappelle le souvenir chéri des leurs compagnons disparus), le tout dans une atmosphère accueillante. Et cela, malgré certains tourments plus personnels, à commencer par ceux d'un Roxalito regrettant que sa contrée d'Amolongia n'ait pas su accueillir ainsi les habitants de Phaleina. Et sans oublier tout ce que Lycos, Chakuro, Suoh et les autres doivent malgré tout à leur bonne vieille Baleine de glaise.
On suit donc tout ceci avec un certain attachement, porté par l'espoir de voir enfin les enfants de la Baleine de glaise trouver un endroit où vivre dans la paix et le bonheur... mais Abi Umeda, en parallèle, et même dès les premières pages du tome, ne manque jamais la moindre occasion de nous rappeler que la menace persiste à travers le plus dangereux de tous les ennemis: l'intrigant et mystère Empereur, que nous laissions sur un moment terrible en fin de tome précédent puisque, sous les yeux horrifiés d'Atsali, il a sacrifié sans émotion une grande partie de son peuple, de son pays. Et à présent, pour accomplir ses desseins, le voici en route pour Kivotos...
Entre les histoires de prophétie, les signes annonciateurs d'un grand désastre, et l'énigmatique connexion que Chakuro continue d'avoir avec cet empereur lui ressemblant comme deux gouttes d'eau, Umeda entretient vraiment bien ici ce parfum de danger/drame imminent, jusqu'à des dernières pages terribles et relançant de plus belle le récit.
21/02/2024 
