Dengeki Daisy Vol.8 : Critiques

« Tu dois trouver une chose à laquelle tu tiens… et devenir capable de la protéger. »

Mais qui a dit que Dengeki Daisy est un shôjo… Eh oui, encore une fois, les fidèles du genre qui cherchent les longs regards, les baisers volés, et l’héroïne qui se défile à la moindre tentative de son bien-aimé, ne seront pas rassasiés. Malgré cela, Kyousuke Motomi nous tient encore fermement, et ne nous lâchera pas de si tôt ! Des révélations sur le virus Jack’o Frost sont au programme, mais surtout, les flashback sur le passé de Kurosaki dynamisent on ne peut plus le volume, et la série toute entière. L’auteur ne prend pas le parti de tourner autour du pot pendant mainte et mainte tomes, mais plutôt, décide de nous en révéler toujours plus, page après page. Ce huitième volume est peut-être celui qui nous en dira le plus sur le secret bien gardé qui perdure depuis le début.
La violence de certaines scènes, alliée à la douceur et au sentimentalisme qui se dégage d’autres, fait la force de la lecture. Nous voilà captivé dès les premières pages, absorbant sans relâche les moindres détails qui s’offrent enfin à nous, mais aussi, appréciant les instants de délire complètement insensés, la nostalgie, mais aussi la peine. Les dessins, la mise en scène de chaque situation permettent d’accroître la qualité de la lecture : il est impossible de rester de marbre devant Dengeki Daisy !


Après avoir dévoré votre manga, courez sans attendre chez votre libraire vous procurer le neuvième volume : il vous réserve quelques surprises !

Lovehina