DR. Dmat Vol.7 - Actualité manga
DR. Dmat Vol.7 - Manga

DR. Dmat Vol.7 : Critiques

Dr. Dmat - Gareki no Shita no Hippocrates

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 23 Avril 2015

Suite au terrible séisme qui a frappé Tokyo, Hibiki poursuit inlassablement ses efforts pour sauver un maximum de vies. Mais un appel de Shûsaku, en convalescence à l'hôpital, chamboule tout : depuis la réplique du tremblement de terre, il est sans nouvelles de Haruko, qui se trouvait alors à la crèche. Hibiki par alors pour la crèche dans l'espoir de retrouver sa petite soeur. Sur place, il découvre un lieu en ruines où fleure une odeur de mort. Et quand il retrouvera Haruko, ses convictions de médecin risquent fort d'être ébranlées par un drame le concernant personnellement...


Dans une ville dévastée par une catastrophe qui n'est pas sans évoquer la crainte du fameux "Big One", Hiroshi Takano et Akio Kikuchi referment le premier arc de leur série en confrontant Hibiki à la pire des situations. Face à une tragédie personnelle concernant sa propre soeur, saura-t-il rester fidèle à ses convictions de médecin de la Dmat ? La réponse se dessine dans une déferlante d'émotion jouant beaucoup sur les flashbacks, sur les pleurs et sur l'aspect inévitable du drame, et soulignant avant tout, une fois de plus, la force de personnes qui, comme notre héros, s'appliquent à sauver le plus de personnes possible avec abnégation. Et même si les personnes sauvées sont moindres par rapport au nombre de disparus, elles comptent et sont autant de signes d'espoir, comme nous le montreront les différents cas sauvés dans les volumes précédents et revenant ici pour apporter à l'arc une conclusion pleine d'espoir.


Au bout d'un tome chaotique, triste, émotionnellement puissant et porté par une mise en scène intense et limpide, c'est donc bel et bien un message teinté d'optimisme qui se dessine dans les dernières pages. Et les auteurs ont beau jouer sur le pathos et sur certaines grosses coïncidences, ça marche à merveille tant le message véhiculé se veut fort et humain. On ne ressort pas indemne de cette lecture qui conclut brillamment le premier arc de la série.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
17 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs