Collège Fou Fou Fou (le) - Kimengumi Vol.4 - Actualité manga

Collège Fou Fou Fou (le) - Kimengumi Vol.4 : Critiques

Haisukuuru! Kimengumi

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 02 Décembre 2015

La nouvelle année annonce un surplus d'étrangeté, d'absurdité et d'humour sans queue ni tête pour les garçons du Kimengumi et leur entourage ! Après une vielle de Jour de l'An où les membres de bandes font des leurs, l'année démarre pour Rei par un rêve on ne peut plus bizarre où ses amis sont radicalement différents de d'habitude. Puis c'est un passage à la patinoire où ses trouvent les beaux gosses que nos héros se retrouvent mis à mal... à moins qu'ils ne s'en sortent à leur manière ?

Voici un début de tome mouvementé, qui nous prépare alors au mieux à la suite qui se divise essentiellement en trois parties.

Tout d'abord, l'entrée en scène de Jidai, le professeur à la dégaine quelque peu... dépassée, nous amuse dans sa façon de se tourner en ridicule et de subir les frasques du Kimengumi, pour un résultat qui prête fortement à sourire.
Puis c'est le marathon du lycée qui arrive, et celui-ci s'annonce mouvementé ! En effet, tandis que Rei connaît quelques gros problèmes dès le début de la course, la lutte s'annonce acharnée dans les premières places entre les leaders des dieux du stade et des gros bras et un nouveau visage... A moins qu'un "invité" de dernière minute ne vienne semer la zizanie ?
Enfin, les quatre derniers chapitres proposent un petit retour sur chacun des 4 fous accompagnant Rei au sein du Kimengumi, le tout à travers leur principal trait de caractère. Ainsi, on peut apprécier tout l'aspect libidineux de Kiyoshi à travers les histoires douteuses qu'il raconte à sa petite soeur (nouveau personnage amusant dans son caractère plutôt franc et joyeux), s'éclater devant les stratagèmes du gourmand Dai pour récupérer la nourriture de ses camarades de classe, s'étonner devant une improbable conquête amoureuse de l'homosexuel Dai (l'occasion de revoir un personnage qu'on n'avait pas vu depuis plusieurs chapitres), et découvrir certains aspects du "broyeur" Gô. Un schéma certes assez linéaire, mais qui exploite au mieux ces quatre compères qui sont parfois un peu trop dans l'ombre de Rei !

A cela, il faut ajouter les quelques habituelles références, mais aussi quelques bons délires dans l'utilisation des cases, pour une succession non-stop de gags où Motoei Shinzawa se montre inspiré. Un moment de lecture parfait pour se vider le cerveau, d'autant que cette fois les quelques coquilles éditoriales (changements de nom, inversions de bulles...) sont absentes.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction