Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 06 Février 2020
« Tu me prends pour qui ?!? Je veux connaître la vérité, peu importe la douleur et les conséquences ! »
Chiyo découvre que malgré ce qu’ils lui ont dit, les frères Kagarizuki connaissent la vérité sur les circonstances de la mort de ses parents adoptifs. Elle se sent trahie, et tout cela n’a que trop duré. Qu’importe que Setsu ne veuille rien lui révéler pour la protéger, il faut qu’elle sache. Mais cette vérité pourrait bien la blesser d’une façon inattendue.
Après les révélations de début de tome, de nouveaux personnages apparaissent. L’occasion pour Kyoko Kumagai de faire intervenir une nouvelle famille de vampires : la fratrie Shiragane. Pour l’instant, on les découvre juste, mais au vu de la tournure de la situation, il est certain qu’ils seront au cœur des événements du prochain volume. On en apprend encore davantage sur les liens qui peuvent exister entre humains et vampires : comme la vente de sang, par exemple. Si les vampires sont parfois présentés comme des personnages aristocratiques, comme lors de la soirée à laquelle Chiyo et Setsu assistent, leur côté plus bestial et impitoyable est également mis en avant. C’est le cas notamment avec le personnage de Kurumi Shiragane, si mignonne en apparence et pourtant insatiable au point d’en perdre toute retenue.
« Nous n’aurions pas dû être attirés l’un par l’autre. »
Le tome entier est consacré au mystère qui entoure les origines de Chiyo. Celle-ci nous prouve encore une fois qu’elle est forte et déterminée, elle agit plutôt que de se morfondre. L’attachement que Setsu ressent pour elle est d’autant plus évident qu’il a passé des années à la protéger d’un secret qui l’aurait blessée. De plus, quand son frère Kasumi propose à Chiyo de nouer un pacte avec lui, il se montre jaloux et il craint qu’elle accepte et se sépare de lui. Avec l’évocation de leur rencontre, leur lien paraît encore plus fort.
On avance bien dans l’intrigue, et on est curieux de voir où la confrontation avec les Shiragane va nous mener. La mangaka ne perd pas de temps avec une discussion douloureuse qui pourrait impacter le dynamisme du tome ; au contraire, elle en présente le rendu avec son héroïne qui y repense. L’essentiel est là et c’est suffisant. On notera également que la mangaka profite d’une page bonus pour rectifier une erreur de chronologie qui s’était glissée dans les tomes précédents : un détail qui souligne l’implication de Kyoko Kumagai envers son lectorat.
Chiyo découvre que malgré ce qu’ils lui ont dit, les frères Kagarizuki connaissent la vérité sur les circonstances de la mort de ses parents adoptifs. Elle se sent trahie, et tout cela n’a que trop duré. Qu’importe que Setsu ne veuille rien lui révéler pour la protéger, il faut qu’elle sache. Mais cette vérité pourrait bien la blesser d’une façon inattendue.
Après les révélations de début de tome, de nouveaux personnages apparaissent. L’occasion pour Kyoko Kumagai de faire intervenir une nouvelle famille de vampires : la fratrie Shiragane. Pour l’instant, on les découvre juste, mais au vu de la tournure de la situation, il est certain qu’ils seront au cœur des événements du prochain volume. On en apprend encore davantage sur les liens qui peuvent exister entre humains et vampires : comme la vente de sang, par exemple. Si les vampires sont parfois présentés comme des personnages aristocratiques, comme lors de la soirée à laquelle Chiyo et Setsu assistent, leur côté plus bestial et impitoyable est également mis en avant. C’est le cas notamment avec le personnage de Kurumi Shiragane, si mignonne en apparence et pourtant insatiable au point d’en perdre toute retenue.
« Nous n’aurions pas dû être attirés l’un par l’autre. »
Le tome entier est consacré au mystère qui entoure les origines de Chiyo. Celle-ci nous prouve encore une fois qu’elle est forte et déterminée, elle agit plutôt que de se morfondre. L’attachement que Setsu ressent pour elle est d’autant plus évident qu’il a passé des années à la protéger d’un secret qui l’aurait blessée. De plus, quand son frère Kasumi propose à Chiyo de nouer un pacte avec lui, il se montre jaloux et il craint qu’elle accepte et se sépare de lui. Avec l’évocation de leur rencontre, leur lien paraît encore plus fort.
On avance bien dans l’intrigue, et on est curieux de voir où la confrontation avec les Shiragane va nous mener. La mangaka ne perd pas de temps avec une discussion douloureuse qui pourrait impacter le dynamisme du tome ; au contraire, elle en présente le rendu avec son héroïne qui y repense. L’essentiel est là et c’est suffisant. On notera également que la mangaka profite d’une page bonus pour rectifier une erreur de chronologie qui s’était glissée dans les tomes précédents : un détail qui souligne l’implication de Kyoko Kumagai envers son lectorat.
07/02/2024 