Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 18 Juin 2019
Désormais sous le nom de la collection NihoNiba, le catalogue hentai de Taifu Comics continue de se relancer en accueillant en ce printemps un nom très apprécié: MEME50, un auteur ayant commencé sa carrière en 2008 et s'étant fait une spécialité des grosses poitrines et des femmes plutôt rondes, en démontrant un réel talent dans ce domaine. De son nom original De son nom original Gucho Gucho Sakari-chan, ce recueil est paru au Japon en 2014 chez l'éditeur Wani Magazine, et regroupe une introduction de quelques pages en couleurs, suivie de dix histoires de longueurs variables : certains font deux chapitres, et on va de 6 à 40 pages, la pus courte histoire étant entièrement en couleur elle aussi.
Da la manager de club de base-ball devenant très lubrique avec celui qu'elle aime, aux soeurs prenant plaisir avec un même garçon, en passant pas une jeune fille voulant des adieux intenses avant que son petit ami ne parte en stage, ou une femme mariée nymphomane, l'auteur livre ici des petits situations à la fois simples et variées, qu'il s'applique toujours à contextualiser un petit peu, mais au fil desquels on retient surtout, dans tous les cas, l'éveil de femmes qui finissent par se laisser totalement aller dans leur recherche plaisir, quelle que soit la forme que ce plaisir doit prendre. Ainsi, les deux soeurs finissent par prendre leur pied avec le même garçon, certaines autres n'hésitent aucunement à montrer leur perversité, la femme mariée finit par assumer son besoin d'avoir toujours plus de sexes d'hommes pour elle, l'héroïne de l'avant-dernière histoire trouve rapidement son compte dans le sexe brutal qu'on lui inflige d'abord contre son gré... Il faut tout de même noter que cette dernière histoire dénote à côté des autres, dans la mesure où la relation initiale n'est pas consentie, ce qui pourra plaire ou non. Mais à part ça, on a vraiment quasiment toujours des personnages féminins qui prennent en charge leur désir, voire qui sont plus d'une fois beaucoup plus audacieuses et vicieuses que ces messieurs.
Passé maître dans le dessin de poitrines généreuses voire démesurées, MEME50 s'en donne ici forcément à coeur joie. Forcément, le lectorat est très ciblé: aucune petite poitrine ou poitrine normale en vue, il faut aimer les gros boobs. Et aussi les femmes qui ont un peu de chair, ce qui est véritablement agréable à voir car le dessinateur les maîtrise et sait leur offrir un aspect aussi voluptueux que charnel voire sensuel. Surtout, le mangaka montre qu'il aime les seins généreux en leur offrant des formes agréables et en s'appliquant pour faire ressortir leur moelleux. Que ce soit dans les postures, dans les angles de vue ou dans les pratiques (vaginal, anal, double pénétration, fellation, branlette espagnole... il y a un peu de tout), l'artiste démontre pas mal de variété. Et le petit plus vient assurément du soin qu'il accorde aussi, à plusieurs reprises, aux éjaculations féminines, car il n'y en a pas que pour ces messieurs. Ainsi, on voit bien que les filles prennent leur pied aussi, que le plaisir est généralement mutuel, ce qui apporte réellement un charme supplémentaire à l'ouvrage.
Da la manager de club de base-ball devenant très lubrique avec celui qu'elle aime, aux soeurs prenant plaisir avec un même garçon, en passant pas une jeune fille voulant des adieux intenses avant que son petit ami ne parte en stage, ou une femme mariée nymphomane, l'auteur livre ici des petits situations à la fois simples et variées, qu'il s'applique toujours à contextualiser un petit peu, mais au fil desquels on retient surtout, dans tous les cas, l'éveil de femmes qui finissent par se laisser totalement aller dans leur recherche plaisir, quelle que soit la forme que ce plaisir doit prendre. Ainsi, les deux soeurs finissent par prendre leur pied avec le même garçon, certaines autres n'hésitent aucunement à montrer leur perversité, la femme mariée finit par assumer son besoin d'avoir toujours plus de sexes d'hommes pour elle, l'héroïne de l'avant-dernière histoire trouve rapidement son compte dans le sexe brutal qu'on lui inflige d'abord contre son gré... Il faut tout de même noter que cette dernière histoire dénote à côté des autres, dans la mesure où la relation initiale n'est pas consentie, ce qui pourra plaire ou non. Mais à part ça, on a vraiment quasiment toujours des personnages féminins qui prennent en charge leur désir, voire qui sont plus d'une fois beaucoup plus audacieuses et vicieuses que ces messieurs.
Passé maître dans le dessin de poitrines généreuses voire démesurées, MEME50 s'en donne ici forcément à coeur joie. Forcément, le lectorat est très ciblé: aucune petite poitrine ou poitrine normale en vue, il faut aimer les gros boobs. Et aussi les femmes qui ont un peu de chair, ce qui est véritablement agréable à voir car le dessinateur les maîtrise et sait leur offrir un aspect aussi voluptueux que charnel voire sensuel. Surtout, le mangaka montre qu'il aime les seins généreux en leur offrant des formes agréables et en s'appliquant pour faire ressortir leur moelleux. Que ce soit dans les postures, dans les angles de vue ou dans les pratiques (vaginal, anal, double pénétration, fellation, branlette espagnole... il y a un peu de tout), l'artiste démontre pas mal de variété. Et le petit plus vient assurément du soin qu'il accorde aussi, à plusieurs reprises, aux éjaculations féminines, car il n'y en a pas que pour ces messieurs. Ainsi, on voit bien que les filles prennent leur pied aussi, que le plaisir est généralement mutuel, ce qui apporte réellement un charme supplémentaire à l'ouvrage.
Cheeky & Chubby est donc, dans l'ensemble, un recueil généreux et très plaisant à suivre, les femmes opulentes de MEME50 ayant clairement leur charme. Le tout est servi dans une édition très jolie avec pas moins de 16 pages en couleur, une très bonne qualité de papier et d'impression, et une traduction de Benjamin Moro qui fait le job. N'oubliez pas de retirer la jaquette, pour découvrir en dessous la postface de l'auteur, où il explique notamment l'origine de son pseudonyme et revient un peu sur chacune de ses histoires.
23/05/2019 