Black Joke Vol.2 - Actualité manga
Black Joke Vol.2 - Manga

Black Joke Vol.2 : Critiques

Black Joke

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 18 Juillet 2011

Kira et Kodama continuent d'œuvrer pour le bien de Port Island, et ce n'est pas de tout repos. D'un côté, côté retrouve Johnny, un ancien camarade de la Marina qui lui voue une haine particulière tandis que Kodama va être mis à l'épreuve...

C'est simple. Si vous avez adoré le premier tome de Black Joke, tu aimerez autant celui-là ! Mais si à contrario vous avez détesté, vous pouvez probablement définitivement passer votre chemin. Ce second volume reprend tous les ingrédients du premier tome, peut-être l'érotisme en moins. Car à part une illustration d'entre-chapitre et l'apparition (gratuite) de Kuroki en sous-vêtements, vous ne verrez pas beaucoup d'anatomie féminine !

La première partie de tome se concentre une nouvelle fois sur Kira qui retrouve Johnny, camarade de la Marine, mais ce n'est pas pour boire un verre avec. Ce dernier jure de se venger, ce qui va amener des situations biens brutales. Mais la plus grosse partie du volume fait honneur à Kodama, l'éternel camarade bourrin de Kira qui semble avoir séduit la jolie Kuroki grâce à sa masse musculaire. Caricaturale me direz-vous, mais tellement délirant !
Nous découvrons d'ailleurs le personnage de Kodama un peu en profondeur, notamment en ce qui concerne son cadre familial. Ainsi, l'entourage du personnage nous est présenté, non sans humour, et la mère du personnage sera l'occasion d'apporter un peu plus d'humour décalé en plus de nous montrer que pour l'auteur, le bonnet (oui, nous parlons bien de poitrine) d'une femme est sans limite. Les derniers chapitres du tome mettent en avant le caractère du personnage, et son désire à être le plus fort, ce qui va amener des combats au corps à corps toujours aussi exagérés.

Vous l'aurez compris, ce second tome de Black Joke est semblable au précédent et nous présente le personnage de Kodama un peu plus en profondeur alors qu'il apparaissait d'avantage comme un figurant lors du premier volume. Néanmoins, on constate que si le tome reste très violent, les délires d'hémoglobines sont moins originaux que sur le précédent opus, et l'auteur fait une croix sur l'érotisme injustifié ici. C'est fort dommage, car c'est bel et bien cette exagération constante (qui n'est pas sans rappeler Tarantino et son fameux Kill Bill) qui fait la force de ce titre. Qu'à cela ne tienne, toujours sans scénario précis et bourré de violence, Black Joke reste une série très particulière à ne pas mettre entre toutes les mains... mais c'est tellement bon !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Takato
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs