Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 09 Juin 2015
Himekawa, Oga, Baby Beel et Hilda s’infiltrent dans une école pas comme les autres. C’est là que les futurs dirigeants du Japon sont formés. Et c’est là qu’Himekawa retrouvera une vieille connaissance, Kugayama, destinée à une grande carrière. Nos héros réussiront-ils à récupérer l’objet demandé par le roi des enfers lui-même ? Où sont-ils déjà en enfer ?
Comme nous l’avons espéré dans le précédent volume, Himekawa est au centre de ce présent tome. Et c’est avec joie que nous en découvrons davantage sur sa personne. La péripétie s’avérera rapidement délirante, loufoque et grisante à suivre. L’auteur n’a pas son pareil pour faire émerger dans son récit toute son imagination et son humour. A aucun moment on ne s’ennuiera. On aura même l’opportunité d’en apprendre davantage sur les parents de Baby Beel. A l’heure actuelle, on ne sait pas encore ce que pourrait donner cette révélation à l’avenir, mais il est évident qu’elle ne fait qu’attiser encore plus notre curiosité. Ainsi, l’histoire sera dans sa globalité bien traitée, même si vers la fin Ryuhei Tamura ira de temps à autre un peu trop dans l’excès de son ‘exaltation’.
La fin de l’opus en profitera, ensuite, pour mettre en place une nouvelle anecdote, mettant cette fois-ci au-devant de la scène Furuichi. Ce qui ne sera pas non plus pour nous déplaire. Par certaines circonstances indépendantes de sa volonté, Furuichi sera amené à utiliser des mouchoirs. Mais des mouchoirs pas comme les autres. En effet, ceux-ci ont pour effet de permettre à son utilisateur de le rendre invincible en combat, et ce, grâce à l’utilisation de capacités de certains officiers démoniaques. L’ère Furuichi a bel et bien commencé ! Comme d’habitude, l’idée de départ est des plus ridicules. Mais il n’y a que Beelzebub pour convertir le ridicule en classe absolue. Pour notre part, on adhère absolument !