Beck Vol.32 : Critiques

Retour sur scène avec nos rockeurs... et mon Dieu quelle prestation !! Dès l'extinction des feux et le lancement du rythme et des riffs, les frissons vous parcourent, tout simplement. Ce volume commence fort, à peine immergé, le lecteur se retrouve plongé dans la fosse, pour entendre la voix d'un Koyuki au sommet !
De rares moments, offerts ici en tant que lecture et qui sont à savourer ! Le rêve commun aux membres prend enfin forme, la rencontre tant attendue avec Leon Sykes permet d'éclairer nos lanternes dans le plus simple appareil. Et déja un premier chapitre dévoré...
Pour le reste du volume, l'auteur commence à remercier une partie des acteurs - plus présents au début de la série - en les étoffant d'une sortie méritée. En ce qui concerne Beck, les prochaines rencontres et rendez-vous risquent d'être primordiaux pour l'avenir...

Le retour de Koyuki à l'underground fournit un motif pour Beck de retrouver les scènes de leurs débuts, en nous aspergeant une nouvelle fois d'une prestation hors norme ! Les adieux de nos artistes à leur entourage prennent doucement forme et les prémices d'une réussite pro se rapprochent à grand pas.

Encore une fois, l'auteur prend le temps de nous préparer à une sortie, chaque personnage quitte la scène de belle manière, certains nouveaux apparaissent pour nous laisser présager le meilleur pour Beck.
En tout cas, l'une des plus grosses claques en terme de lecture en cette fin d'année !

Et pour répondre à Akata quant à leur initiative pour la cloture de la série : je vis Beck en écoutant chanter Liam Gallagher/ Anthony Kiedis, riffer Jimmy Page/Pete Townshend et Noel Gallagher, rythmer Christopher Wolstenholme/ John Paul Jones, battre Dave Grohl/ Keith Moon !!! Sans oublier tous les groupes et autres génies ayant participé à l'élaboration d'un rock toujours aussi envoutant !!

daigoro