Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 09 Novembre 2015
Alai Junior a semé le trouble dans l'esprit de Baki, il a enchaîné les victoires face à des adversaires redoutables et également des amis de Baki, tels que Doppo et Goki, mais maintenant il fait face à Jack Hammer, le demi-frère de notre héros, et il se pourrait bien qu'il se heurte à un mur...
Alors que nous sommes seulement à deux tomes de la fin de la série, on ne comprend vraiment plus où l’auteur veut nous entraîner, on perd véritablement le fil et on se pose la question de l’intérêt de tout ceci : il intègre un personnage sorti de nulle part qui brille sur plusieurs tomes, qui écrase des champions Chinois censés être des grands maîtres, dans le volume précédent Alai Junior affrontait et terrassait les plus puissants guerriers qu’avait déjà affronté Baki, et dans ce tome ils reviennent pour le punir (et plutôt méchamment) avec une facilité déconcertante…
Deux volumes pour un résultat qui s’annule. Un coup son personnage joue largement au-dessus des autres, le coup suivant il est totalement dépassé… Quel est l’intérêt de donner autant d'importance à l'un de ses personnages pour le détruire par la suite, sans la moindre raison qui plus est ? Preuve une fois de plus que l’auteur fait ce qu’il veut sans se soucier d’une quelconque cohérence narrative.
Et il lui reste deux volumes pour conclure son histoire… et Baki dans tout ça ? Pendant quasiment l’intégralité de la série, on se sera demandé pourquoi celle-ci se nomme ainsi ! Un héros inexistant qui se fait voler la vedette par des personnages sortis de nulle part.
L’intérêt de ce tome, si l’on peut dire, est dans la mise en scène…les affrontements sont d’une violence rare, Alai se faisant détruire (littéralement) peu à peu à chaque face à face, l’auteur n’hésitant pas à montrer des choses peu ragoûtantes telles que des os sortant des chairs, une langue à moitié sectionnée…
Vous passerez plus de temps à acheter ce tome qu’à le lire, celui-ci se bouclant en quinze minutes grand maximum, ce qui va encore renforcer la frustration provoquée par son contenu !
Alors que nous sommes seulement à deux tomes de la fin de la série, on ne comprend vraiment plus où l’auteur veut nous entraîner, on perd véritablement le fil et on se pose la question de l’intérêt de tout ceci : il intègre un personnage sorti de nulle part qui brille sur plusieurs tomes, qui écrase des champions Chinois censés être des grands maîtres, dans le volume précédent Alai Junior affrontait et terrassait les plus puissants guerriers qu’avait déjà affronté Baki, et dans ce tome ils reviennent pour le punir (et plutôt méchamment) avec une facilité déconcertante…
Deux volumes pour un résultat qui s’annule. Un coup son personnage joue largement au-dessus des autres, le coup suivant il est totalement dépassé… Quel est l’intérêt de donner autant d'importance à l'un de ses personnages pour le détruire par la suite, sans la moindre raison qui plus est ? Preuve une fois de plus que l’auteur fait ce qu’il veut sans se soucier d’une quelconque cohérence narrative.
Et il lui reste deux volumes pour conclure son histoire… et Baki dans tout ça ? Pendant quasiment l’intégralité de la série, on se sera demandé pourquoi celle-ci se nomme ainsi ! Un héros inexistant qui se fait voler la vedette par des personnages sortis de nulle part.
L’intérêt de ce tome, si l’on peut dire, est dans la mise en scène…les affrontements sont d’une violence rare, Alai se faisant détruire (littéralement) peu à peu à chaque face à face, l’auteur n’hésitant pas à montrer des choses peu ragoûtantes telles que des os sortant des chairs, une langue à moitié sectionnée…
Vous passerez plus de temps à acheter ce tome qu’à le lire, celui-ci se bouclant en quinze minutes grand maximum, ce qui va encore renforcer la frustration provoquée par son contenu !
18/08/2010 
23/05/2024 