Baki Vol.15 - Actualité manga
Baki Vol.15 - Manga

Baki Vol.15 : Critiques

New grappler baki

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 11 Mars 2015

Doyle après avoir été vaincu puis sauvé par Retsu, a provoqué une explosion détruisant l'école du Shinshinkai...il n'en fallait pas plus pour se mettre à dos les leaders de l'école, Doppo en tête ! Après Dorian, c'est donc au tour de Doyle de recevoir une leçon de karaté !

Dès le début du tome, Doyle se retrouve face à Doppo Orochi, et le grand maître de Karaté semble bien décidé à lui enseigner une leçon quelque peu brutale...ce qui ne manquera pas d'arriver.


L’auteur se fait plaisir en montrant des personnages, auxquels il semble tenir, Doppo en tête puisque très présent depuis le début, en action et écrasant de supériorité, mais pour le coup c’est toute la cohérence de son intrigue (intrigue étant un bien grand mot) qui est remise en question : les condamnés se sont échappés de leurs prisons afin d’affronter des hommes puissants pour enfin connaître la défaite, et il se trouve que Doyle se prend branlés sur branlés ; il se fait défoncer par Retsu, puis par Doppo, puis par Katsumi, à plusieurs reprises, mais refuse d’admettre sa défaite…du coup on tourne en rond et ça traîne…on commence à ne plus trop voir l’intérêt.


C'est d'autant plus dommage que les deux premiers condamnés nous avaient été présentés comme des fauves invincibles ou presque, alors que depuis un moment, entre Sikorsky et Doyle, leur aura a grandement diminuée.


Et sans transition aucune, comme à son habitude l’auteur passe sur un autre condamné, qui trouve Baki on ne sait trop comment, mais cela reste plutôt une bonne nouvelle puisqu’on va enfin voir le héros du titre, il était temps, on commençait presque à se demander pourquoi le titre s’appelait ainsi.


En bon misogyne l’auteur développe une morale bien simple : maintenant que Baki a enfin couché avec sa copine, il est devenu bien plus puissant, c’est normal, tous les grands combattants le savent !


Encore un volume qui frise avec le grand n’importe quoi, et si par moment cela touche au génie, il arrive que cela passe moins bien, ce qui est le cas ici, la magie n’opère pas vraiment dans ce tome où l’on trouve beaucoup trop de facilités. Malgré tout, il reste cette action débridée et ce dessin qui donne une impression de violence dans les coups tellement caractéristiques.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
13 20
Note de la rédaction