Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 29 Août 2019
Le quotidien de Ryuichi, de ses amis et de la ribambelle d'adorables bébés dont il faut s'occuper se poursuit, et il... se ressemble... de plus en plus...
Ici, Kotaro est attristé de ne pas pouvoir resté collé à son grand qui est en pleine révisions, et tache alors d'apprendre à écrire son nom sous la surveillance de la directrice et de Saikawa. Là, Hayato se pointe blessé à la main et son petit frère et les autres s'inquiètent pour lui. Puis il faut veiller sur les petits qui vont passer une nuit à la crèche sans leur famille, jouer les détective en essayant de retrouver la poupée disparue de Kirin... sans oublier un passage où le maladroit Inui se retrouve à devoir veiller seul sur le plus petit des bébés, Midori !
Ce n'est pas nouveau: cela fait un moment que Baby-sitters tend à tourner de plus en plus en rond. Il y a encore de bonnes petites idées, comme le passage centré sur Inui et Midori qui permet de mettre enfin un peu plus en avant cette dernière (quasiment transparente depuis le début de la série, il faut bien l'avouer... et encore, même ci elle se fait largement voler la vedette par les réactions d'Inui), ou un chapitre montrant un peu le passé du père des jumeaux. mais ces idées-là restent plutôt sous-exploitées et un peu expédiées. Et en dehors de ça, les autres chapitres ont un goût de déjà-vu. Bien sûr, Hari Tokeno continue encore et toujours, plutôt bien, de jouer sur les relations des uns et des autres, comme Ryuichi/Kotaro ou Hayato/Taka... mais il faut bien se rendre à l'évidence: on en revient toujours aux mêmes choses, rien n'évolue, la mangaka se contente d'une routine de plus en plus lassante. Les frimousses des gamins restent pourtant assez mimis et adorables, mais ça ne fait pas tout.
Baby-sitters dépasse les 200 chapitres avec ce 18e volume, et le constat est simple: ça fait déjà un petit moment que Hari Tokeino semble avoir fait le tour de son sujet et qu'elle se montre peu capable d'apporter un réel renouvellement. Son manga a eu du charme, mais à présent il serait temps d'envisager de le faire évoluer ou de lui apporter une conclusion...
Ici, Kotaro est attristé de ne pas pouvoir resté collé à son grand qui est en pleine révisions, et tache alors d'apprendre à écrire son nom sous la surveillance de la directrice et de Saikawa. Là, Hayato se pointe blessé à la main et son petit frère et les autres s'inquiètent pour lui. Puis il faut veiller sur les petits qui vont passer une nuit à la crèche sans leur famille, jouer les détective en essayant de retrouver la poupée disparue de Kirin... sans oublier un passage où le maladroit Inui se retrouve à devoir veiller seul sur le plus petit des bébés, Midori !
Ce n'est pas nouveau: cela fait un moment que Baby-sitters tend à tourner de plus en plus en rond. Il y a encore de bonnes petites idées, comme le passage centré sur Inui et Midori qui permet de mettre enfin un peu plus en avant cette dernière (quasiment transparente depuis le début de la série, il faut bien l'avouer... et encore, même ci elle se fait largement voler la vedette par les réactions d'Inui), ou un chapitre montrant un peu le passé du père des jumeaux. mais ces idées-là restent plutôt sous-exploitées et un peu expédiées. Et en dehors de ça, les autres chapitres ont un goût de déjà-vu. Bien sûr, Hari Tokeno continue encore et toujours, plutôt bien, de jouer sur les relations des uns et des autres, comme Ryuichi/Kotaro ou Hayato/Taka... mais il faut bien se rendre à l'évidence: on en revient toujours aux mêmes choses, rien n'évolue, la mangaka se contente d'une routine de plus en plus lassante. Les frimousses des gamins restent pourtant assez mimis et adorables, mais ça ne fait pas tout.
Baby-sitters dépasse les 200 chapitres avec ce 18e volume, et le constat est simple: ça fait déjà un petit moment que Hari Tokeino semble avoir fait le tour de son sujet et qu'elle se montre peu capable d'apporter un réel renouvellement. Son manga a eu du charme, mais à présent il serait temps d'envisager de le faire évoluer ou de lui apporter une conclusion...
06/03/2024 