Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 26 Octobre 2018
Voilà Kotaro qui retrouve ses amis les plants de fraises. Manque de chance, il va falloir attendre un moment avant que le stock se refasse. C’est alors que la directrice a une idée et invite toute la crèche à se régaler en se rendant à la ferme pour en cueillir. Caprices et émerveillement en perspective.
Du rififi chez les Mamizuka, un cadeau de la part du professeur Hebihara, le jeu du papa et de la maman tourne au drame, et Kotaro à la rescousse des cigales.
Ce tome 16 paraît bien peu épais par rapport à ses prédécesseurs. Et lorsqu’on fait face à ce genre de volume, on ressent généralement une sorte d’appréhension au moment d’entamer la lecture. Pour finalement constater que le contenu de ce Babysitters reste classique.
Pourtant, la mécanique commence à s’essouffler. Kotaro est toujours adorable et serviable, les jumeaux à la maison ont des différends, Taka pique des crises et ça n’avance pas du côté de Ryuichi avec Inomata et Ushimaru. Oui, évidemment les personnages sont censés répondre à leur caractère mais le sentiment de tourner en rond n’en est que plus grand.
Peut-être que Tokeino Hari pense qu’en faisant grandir les petits, il y aura une perte d’intérêt de la part des lecteurs ? Seulement, elle s’adresse à des adolescents et, même si une partie du lectorat est adulte, il faut bien une évolution à un moment.
Du rififi chez les Mamizuka, un cadeau de la part du professeur Hebihara, le jeu du papa et de la maman tourne au drame, et Kotaro à la rescousse des cigales.
Ce tome 16 paraît bien peu épais par rapport à ses prédécesseurs. Et lorsqu’on fait face à ce genre de volume, on ressent généralement une sorte d’appréhension au moment d’entamer la lecture. Pour finalement constater que le contenu de ce Babysitters reste classique.
Pourtant, la mécanique commence à s’essouffler. Kotaro est toujours adorable et serviable, les jumeaux à la maison ont des différends, Taka pique des crises et ça n’avance pas du côté de Ryuichi avec Inomata et Ushimaru. Oui, évidemment les personnages sont censés répondre à leur caractère mais le sentiment de tourner en rond n’en est que plus grand.
Peut-être que Tokeino Hari pense qu’en faisant grandir les petits, il y aura une perte d’intérêt de la part des lecteurs ? Seulement, elle s’adresse à des adolescents et, même si une partie du lectorat est adulte, il faut bien une évolution à un moment.
A la fin, on peut découvrir une histoire sans rapport avec le récit principal mais totalement shoujo.
06/03/2024 