Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 03 Juin 2009
Atori est une lycéenne sexy à souhait (même si elle ne fait absolument
rien pour l'être), gloutonne comme pas deux, et un brin nonchalante et
solitaire. En apparence comme les autres, elle a pourtant perdu tout
souvenir de sa vie avant le collège. De plus, pour pouvoir financer ses
études et son loyer, elle chasse les monstres et démons grâce à son
extraordinaire capicité à faire apparaître un sabre dans ses cheveux
pour le compte d'une mystérieuse organisation appelée N.U.E.
Ce
premier volume est, en quelque sorte, un tome d'introduction à
l'univers de la série. Nous y faisons la connaissance d'une héroïne
amusante de par son caractère, et qui arrive à se démarquer légèrement
(très légèrement) grâce à cela et à sa capacité pour le moins peu
banale (se battre avec un sabre caché dans ses cheveux...). Toutefois,
ne nous leurrons pas, le personnage reste dans l'ensemble assez
stéréotypé, tout comme les autres protagonistes qui viennent se greffer
autour d'elle. Qu'ils soient humains ou non, amis ou ennemis, la
plupart d'entre eux restent assez classiques, mais ont un éventuel
potentiel qui pourrait rendre la suite intéressante, surtout si on le
met en lien avec le début d'intrigue visible en fin de tome. Car, en
effet, quelques évènements intrigants sont présents pour nous laisser
envisager une suite plus riche au niveau de l'histoire. Ainsi, tandis
que le lecteur est amené à se poser des questions sur l'énigmatique
passé d'Atori, un complot ayant pour cible notre héroïne semble se
mettre en place.
En plus de développer une certaine dose de mystère,
l'ensemble est traité avec un humour assez basique exploitant pas mal
le caractère glouton et décalé d'Atori, et une très légère dose de
fan-service est également présente. Classique.
Du côté des
dessins, ce n'est pas désagréable, mais l'ensemble manque d'une
véritable touche personnelle. De plus, l'ensemble est doté d'une
narration très classique et d'un découpage parfois confus.
Loin
d'être mauvais, ce premier volume d'Atori reste cependant très basique,
mais est doté d'un certain potentiel qui, espérons-le, sera pleinement
exploité par la suite.
rien pour l'être), gloutonne comme pas deux, et un brin nonchalante et
solitaire. En apparence comme les autres, elle a pourtant perdu tout
souvenir de sa vie avant le collège. De plus, pour pouvoir financer ses
études et son loyer, elle chasse les monstres et démons grâce à son
extraordinaire capicité à faire apparaître un sabre dans ses cheveux
pour le compte d'une mystérieuse organisation appelée N.U.E.
Ce
premier volume est, en quelque sorte, un tome d'introduction à
l'univers de la série. Nous y faisons la connaissance d'une héroïne
amusante de par son caractère, et qui arrive à se démarquer légèrement
(très légèrement) grâce à cela et à sa capacité pour le moins peu
banale (se battre avec un sabre caché dans ses cheveux...). Toutefois,
ne nous leurrons pas, le personnage reste dans l'ensemble assez
stéréotypé, tout comme les autres protagonistes qui viennent se greffer
autour d'elle. Qu'ils soient humains ou non, amis ou ennemis, la
plupart d'entre eux restent assez classiques, mais ont un éventuel
potentiel qui pourrait rendre la suite intéressante, surtout si on le
met en lien avec le début d'intrigue visible en fin de tome. Car, en
effet, quelques évènements intrigants sont présents pour nous laisser
envisager une suite plus riche au niveau de l'histoire. Ainsi, tandis
que le lecteur est amené à se poser des questions sur l'énigmatique
passé d'Atori, un complot ayant pour cible notre héroïne semble se
mettre en place.
En plus de développer une certaine dose de mystère,
l'ensemble est traité avec un humour assez basique exploitant pas mal
le caractère glouton et décalé d'Atori, et une très légère dose de
fan-service est également présente. Classique.
Du côté des
dessins, ce n'est pas désagréable, mais l'ensemble manque d'une
véritable touche personnelle. De plus, l'ensemble est doté d'une
narration très classique et d'un découpage parfois confus.
Loin
d'être mauvais, ce premier volume d'Atori reste cependant très basique,
mais est doté d'un certain potentiel qui, espérons-le, sera pleinement
exploité par la suite.