Arata Vol.15 - Actualité manga
Arata Vol.15 - Manga

Arata Vol.15 : Critiques

Arata Kangatari

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 12 Septembre 2013

Disons que tout le tome peut, pour une fois, se résumer à sa couverture. Avant de vous en raconter le contenu, j’essaie de le défendre. Parce que oui, les shonen ont une dose nécessaire de fan service. C’est un classique dans ce genre de lecture, ça va avec la quête héroïque de l’adolescent chétif. On peut difficilement s’en détacher, c’est une constante. Et plus encore dans l’œuvre de Yuu Watase, puisque même dans ses shono elle en met. C’est son style, une de ses marques, de ses signatures. Mais là où dans les shojo elle nous sert souvent à quantité égale les grosses poitrines et les jolis jeunes gens torse nus, là on s’attarde plutôt sur la gente féminine en petite tenue. Donc, pourquoi du comment ? Arata réalise qu’il ne peut pas communiquer avec Tsukuyo, et que c’est un frein terrible pour avancer dans sa quête et pour pouvoir affronter les Six Fourreaux. Il décide donc de s’entraîner sur le site des Rochers Célestes, et du coup tous ses camarades veulent faire pareil. Allez, session entraînement, GO !

Chacun des membres du petit groupe va affronter son alter ego, son double maléfique. Et ils doivent trouver le moyen de résoudre l’énigme de se battre contre soi même. Arata galère un peu et il aura besoin d’un petit coup de pouce d’un personnage qu’on avait presque oublié. Mais surtout … Kotoha et Mikusa se retrouvent en bikini ou assimilé, et à la fin de leur épreuve, Mikusa a un sein à l’air et Kotoha se retrouve totalement nue. Et évidemment, Arata voit tout le tableau histoire de semer le trouble dans son cœur mais surtout de se rincer l’œil. Juste … non. C’est pitoyable et ça n’a aucune justification. Ça décrédibilise totalement le récit et nous laisse juste cois, surtout que le public visé est encore assez féminin, au vu du parcours de la mangaka. Donc on n’est pas du tout sensible à ce déballage ridicule de fan service. Et ça s’accentue quand les guerriers (hommes) rencontrent les déesses (bombasses à gros seins) de leurs armes. Voilà voilà … Ce tome est dédié aux poitrines, et c’est d’un ridicule déprimant. Espérant que le prochain tome se relève de ce cuisant échec.


NiDNiM


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
12 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs