Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 29 Avril 2008
Akari à pris un peu d’assurance en réussissant sa semi-confirmation dans le tome précédant et accueille son premier client, Akatsuki, un apprenti salamander. Le grand nettoyage annuel est prétexte à l’errance du chat-directeur d’Aria corporation. La fête nocturne de la clochette lunaire offre de jolies vues d’une Venise aux lampions et une excursion sur l’ile dans le ciel nous permet de retrouver Akatsuki comme guide.
Déjà la fin pour cette série que l’on quitte avec nostalgie, mais dont on retrouve tout les personnages dans la série Aria. Le point de vue de l’histoire que nous fait partager Akari sur néo-venezia, nous rapproche forcément de ce personnage, de ses rêveries éveillées et de ses émerveillements. Rien de mouvementé ne se passe mais on ne s’ennuie jamais à flâner au fil des canaux de cette nouvelle Venise.
néun11septembre