Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 11 Août 2015
Alice se trouve au parc d'attraction pour écouter les nouveaux morceaux composés par Goround, et tout aurait pu bien se passer sans l'intervention de Blood qui la trouble plus que jamais, pour le plus grand malheur de Peter, toujours aussi épris de la belle et toujours aussi jaloux.
Plus la série avance et moins on comprend où veut nous entraîner l'auteur... Les scènes s’enchaînent sans forcément qu'on y trouve des liens apparents, Joker fait beaucoup parler de lui mais on le voit très peu dans ce tome, Alice passe d'un point à un autre sans qu'on sache pourquoi, elle est parfois téléportée, parfois il s'agit d'une ellipse... bref la narration devient de plus en plus confuse, ce qui, il faut être honnête, nuit gravement au (dé)plaisir de lecture.
Alors qu'on pensait qu'Alice jetterait son dévolu sur un autre personnage, sans doute Joker, cette dernière semble se rapprocher à nouveau de Blood, ce qui fut déjà le cas dans la première série... et si le principe de toutes ses séries qui se succèdent est bel et bien d'appréhender l'histoire sous un nouvel angle, d'explorer de nouveaux choix possibles (puisque rappelons le, il s'agit de l'adaptation d'un jeu de drague, jeux si chers aux cœurs des Japonais qui a du mal à passer nos frontières), alors on ne voit pas bien l’intérêt de tout ceci, pourquoi ne pas faire une suite directement de la première série si c'est pour explorer les mêmes choix.
Et ce n'est pas la présence de Joker, trouble fête qui ne semble apprécié par personne, qui change grandement la donne.
Il apporte un peu de renouveau c'est indéniable, une pseudo intrigue concernant la sœur d'Alice qui serait prisonnière dans les geôles de la prison (ce qui n'a pas l'air de grandement inquiéter Alice au passage), mais tout semble survolé, rien n'est véritablement exploité, preuve en est encore cette narration chaotique qui nous fait passer d'une scène à l'autre, d'un lieu à l'autre sans qu'on comprenne trop pourquoi, Alice passant d'un endroit à un autre sans qu'elle même ne s'en étonne…
Plus on avance dans la série et plus il est difficile de poursuivre la lecture. Le plaisir de la première partie, déjà bien émoussé dans la seconde laisse peu à peu la place à de l'ennui.
Plus la série avance et moins on comprend où veut nous entraîner l'auteur... Les scènes s’enchaînent sans forcément qu'on y trouve des liens apparents, Joker fait beaucoup parler de lui mais on le voit très peu dans ce tome, Alice passe d'un point à un autre sans qu'on sache pourquoi, elle est parfois téléportée, parfois il s'agit d'une ellipse... bref la narration devient de plus en plus confuse, ce qui, il faut être honnête, nuit gravement au (dé)plaisir de lecture.
Alors qu'on pensait qu'Alice jetterait son dévolu sur un autre personnage, sans doute Joker, cette dernière semble se rapprocher à nouveau de Blood, ce qui fut déjà le cas dans la première série... et si le principe de toutes ses séries qui se succèdent est bel et bien d'appréhender l'histoire sous un nouvel angle, d'explorer de nouveaux choix possibles (puisque rappelons le, il s'agit de l'adaptation d'un jeu de drague, jeux si chers aux cœurs des Japonais qui a du mal à passer nos frontières), alors on ne voit pas bien l’intérêt de tout ceci, pourquoi ne pas faire une suite directement de la première série si c'est pour explorer les mêmes choix.
Et ce n'est pas la présence de Joker, trouble fête qui ne semble apprécié par personne, qui change grandement la donne.
Il apporte un peu de renouveau c'est indéniable, une pseudo intrigue concernant la sœur d'Alice qui serait prisonnière dans les geôles de la prison (ce qui n'a pas l'air de grandement inquiéter Alice au passage), mais tout semble survolé, rien n'est véritablement exploité, preuve en est encore cette narration chaotique qui nous fait passer d'une scène à l'autre, d'un lieu à l'autre sans qu'on comprenne trop pourquoi, Alice passant d'un endroit à un autre sans qu'elle même ne s'en étonne…
Plus on avance dans la série et plus il est difficile de poursuivre la lecture. Le plaisir de la première partie, déjà bien émoussé dans la seconde laisse peu à peu la place à de l'ennui.
10/12/2015 