Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 06 Avril 2022
En mai 2021, nous apprenions le changement d'éditeur prochain de 50 nuances de gras au Japon, l'éditeur initial Wani Books ayant décidé de stopper la parution de l'oeuvre au chapitre 45, qui correspondant à environ la moitié du volume 8. L'auteur Synecdoche se voulait toutefois rassurant pour la suite de sa série, avec une reprise prévue chez un autre éditeur après un délai de six mois, le temps de transférer la série. Et comme promis, c'est bel et bien six mois plus tard, en novembre 2021, que la série a repris chez un autre éditeur, à savoir Akita Shoten, et plus précisément dans le magazine numérique mensuel Dokodemo Young Champion. Le tome 8 est sorti au japon dans la foulée, le 19 novembre, en ayant été présenté comme le dernier de la "saison 1" de la série, en laissant donc comprendre que la "saison 2" démarrera avec le volume 9. Forcément, l'interruption de la parution et le changement d'éditeur au Japon a eu un impact sur la publication française, dont la suite se faisait attendre depuis la sortie du tome 6 en novembre 2020. Et à présent que les problèmes sont réglés au Japon, les éditions Doki-Doki, près d'un an et demi après le 6e opus, peuvent enfin nous proposer le tome 7 en ces premiers jours d'avril !
Après tant d'attente, c'est avec un plaisir décuplé que l'on retrouve l'expert en soins et en nutrition Naoe, toujours aussi déterminé à aider Erufuda et les autres filles fantastiques d'un autre monde à entretenir leur corps et à faire attention à leur santé... mais c'est plus facile à dire qu'à faire quand on voit le comportement des miss ! Sur conseil de sa patronne, notre héros entreprend alors d'analyser plus en profondeur chacune de ses surnaturelles patientes, en effectuant une étude comportementale visant à mieux comprendre leur mode de vie, leur situation, leurs goûts... Le résultat occupe un premier chapitre qui est on ne peut plus bienvenu dans la situation actuelle puisque, après un an et demi d'attente, il rappelle efficacement à notre mémoire la vaste palette d'héroïnes loufoques vues depuis le début de l'oeuvre, de notre chère elfe principale Erufuda jusqu'à Satero la satyre, en passant par Ôeda la tante elfe, Kuroeda l'elfe noire, Mero la merrow, Kusahanada la mandragore, Oga l'ogresse, Hitomé la cyclope, Laïka la lycanthrope, Oku l'orque, Kobo la kobold, Honeda la skeleton, Gonda la fille-dragon, ainsi que Medesa, Sthéno et Euryale les gorgones. Ajoutons à toutes celles-ci la dévoreuse de cauchemars Oneiros qui a un rôle-clé dans un des chapitres suivants, et c'est là qu'on se rend vraiment compte qu'en seulement 7 volumes, le mangaka a déjà installé un bon paquet de figures féminines hautes en couleurs !
Une fois ce chapitre passé, Synecdoche reprend les bonnes vieilles habitudes, avec des petits récits exploitant efficacement différentes héroïnes de ce vaste casting pour apporter quelques petits conseils-santés, tout en jouant sur une dose d'humour assez prononcées grâce aux caractéristiques des filles, et en nous offrant volontiers quelques nouvelles notes d'ecchi autour de leurs corps bien en chair, cette part de nudité passant toujours bien dans cette série. Ici, au détour d'un massage devant détendre Hitomé, on découvre un peu plus la cyclope, les spécificités de sa taille de titan, sa peur du tonnerre, tout en ayant droit à quelques informations pour assouplir des muscles rigides. Là, Gonda la fille-dragon et Kobo la kobold décident de s'inviter chez Naoe pour prendre un bain après s'être salies, avec ce que ça peut impliquer d'instants comiques (en tête, la phobie des reptiles du jeune homme) et d'informations sur les effets bénéfiques des bains sur le corps. Puis en exploitant Oneiros, l'auteur nous propose un pur moment humoristique où il parodie les romcoms à tendance harem. Et enfin, les deux derniers chapitres nous reofnt le coup du voyage à la plage avec un casting agrandi, des moments facilement rigolos, et la présence menaçante d'une vieille ennemie visiblement bien décidée à prendre sa revanche dans le prochain tome...
A l'arrivée, le volume est plutôt bien équilibré, et c'est donc bel et bien avec plaisir que l'on retrouve enfin Erufuda et les autres après une si longue attente. Synecdoche ne perd rien en humour, en charme et en petits conseils-santé, pour un cocktail restant très sympathique.
Après tant d'attente, c'est avec un plaisir décuplé que l'on retrouve l'expert en soins et en nutrition Naoe, toujours aussi déterminé à aider Erufuda et les autres filles fantastiques d'un autre monde à entretenir leur corps et à faire attention à leur santé... mais c'est plus facile à dire qu'à faire quand on voit le comportement des miss ! Sur conseil de sa patronne, notre héros entreprend alors d'analyser plus en profondeur chacune de ses surnaturelles patientes, en effectuant une étude comportementale visant à mieux comprendre leur mode de vie, leur situation, leurs goûts... Le résultat occupe un premier chapitre qui est on ne peut plus bienvenu dans la situation actuelle puisque, après un an et demi d'attente, il rappelle efficacement à notre mémoire la vaste palette d'héroïnes loufoques vues depuis le début de l'oeuvre, de notre chère elfe principale Erufuda jusqu'à Satero la satyre, en passant par Ôeda la tante elfe, Kuroeda l'elfe noire, Mero la merrow, Kusahanada la mandragore, Oga l'ogresse, Hitomé la cyclope, Laïka la lycanthrope, Oku l'orque, Kobo la kobold, Honeda la skeleton, Gonda la fille-dragon, ainsi que Medesa, Sthéno et Euryale les gorgones. Ajoutons à toutes celles-ci la dévoreuse de cauchemars Oneiros qui a un rôle-clé dans un des chapitres suivants, et c'est là qu'on se rend vraiment compte qu'en seulement 7 volumes, le mangaka a déjà installé un bon paquet de figures féminines hautes en couleurs !
Une fois ce chapitre passé, Synecdoche reprend les bonnes vieilles habitudes, avec des petits récits exploitant efficacement différentes héroïnes de ce vaste casting pour apporter quelques petits conseils-santés, tout en jouant sur une dose d'humour assez prononcées grâce aux caractéristiques des filles, et en nous offrant volontiers quelques nouvelles notes d'ecchi autour de leurs corps bien en chair, cette part de nudité passant toujours bien dans cette série. Ici, au détour d'un massage devant détendre Hitomé, on découvre un peu plus la cyclope, les spécificités de sa taille de titan, sa peur du tonnerre, tout en ayant droit à quelques informations pour assouplir des muscles rigides. Là, Gonda la fille-dragon et Kobo la kobold décident de s'inviter chez Naoe pour prendre un bain après s'être salies, avec ce que ça peut impliquer d'instants comiques (en tête, la phobie des reptiles du jeune homme) et d'informations sur les effets bénéfiques des bains sur le corps. Puis en exploitant Oneiros, l'auteur nous propose un pur moment humoristique où il parodie les romcoms à tendance harem. Et enfin, les deux derniers chapitres nous reofnt le coup du voyage à la plage avec un casting agrandi, des moments facilement rigolos, et la présence menaçante d'une vieille ennemie visiblement bien décidée à prendre sa revanche dans le prochain tome...
A l'arrivée, le volume est plutôt bien équilibré, et c'est donc bel et bien avec plaisir que l'on retrouve enfin Erufuda et les autres après une si longue attente. Synecdoche ne perd rien en humour, en charme et en petits conseils-santé, pour un cocktail restant très sympathique.