Yan est. un manhwa qui concentre sa force dans son esthétique, ce troisième et dernier volume clos la maestria de Chang Sheng à la plume. Par contre, il faut le dire, l'auteur Tawanais ne sait absolument pas développer un scénario, de ce côté là, on frise, non on atteind les abysses. La. temporalité est mal gérée, 3 volumes ne suffisent pas à connaitre les 4 personnages principaux de l'histoire, de s'y attacher et de comprendre ce qui les. motives à entreprendre ces combats. Ce dernier volume n'a pas réussit à faire de Yan Tiehura l'héroine qu'il se doit. L'ennemi principal n'a aucune profondeur, c'est un... méchant. On ne cerne pas ces motivations et aucun plan pour mettre à bien ce but qui n'existe pas. Il reste dans. un. immeuble trois jours durant sans que l'on sache pourquoi. En écrivant cette critique, je me rends. compte de l'absurde de cette oeuvre, l'arme de ce personnage invincible est tout de même un forêt de perceuse qui sort de sa main sans que l'on comprenne le mécanisme et l'utilité de cette excroissance, mon Dieu.
Vous ne trouverez pas grand chose de passionnant, pas de scène altante, de révélation ou situation inextricable, on lit sans rien ressentir ou presque.
On a ce flic presque retraité qui semblait blasé mais qui devient, sans qu'on n'arrive à comprendre pourquoi, très téméraire même avec un bras amputé et, qui plus est, amputé de son bras fort.... C'est excessivement mal écrit.
J'aime le trait de l'auteur mais la plastique est son seul atout, ça se lit mais le cerveau n'est qu'optionnel. Il faut que cet auteur se rapproche d'un scénariste car bien que l'on pardonne à Yan ses errance grâce aussi au bon. travail de Glénat qui a fait les choses bien pour cet artiste (sauf manque sur les illustrations toujours cropés et pas présente pour certains personnages).
J'ai envie de croire en Chang Sheng mais ayant presque tout lu, je me demande si c'est pssible.
Bonne lecture, en éspérant que vous l'apprécierez plus que moi.
De naflo [1234 Pts], le 27 Septembre 2024 à 22h54
Yan est. un manhwa qui concentre sa force dans son esthétique, ce troisième et dernier volume clos la maestria de Chang Sheng à la plume.
Par contre, il faut le dire, l'auteur Tawanais ne sait absolument pas développer un scénario, de ce côté là, on frise, non on atteind les abysses.
La. temporalité est mal gérée, 3 volumes ne suffisent pas à connaitre les 4 personnages principaux de l'histoire, de s'y attacher et de comprendre ce qui les. motives à entreprendre ces combats.
Ce dernier volume n'a pas réussit à faire de Yan Tiehura l'héroine qu'il se doit.
L'ennemi principal n'a aucune profondeur, c'est un... méchant. On ne cerne pas ces motivations et aucun plan pour mettre à bien ce but qui n'existe pas. Il reste dans. un. immeuble trois jours durant sans que l'on sache pourquoi.
En écrivant cette critique, je me rends. compte de l'absurde de cette oeuvre, l'arme de ce personnage invincible est tout de même un forêt de perceuse qui sort de sa main sans que l'on comprenne le mécanisme et l'utilité de cette excroissance, mon Dieu.
Vous ne trouverez pas grand chose de passionnant, pas de scène altante, de révélation ou situation inextricable, on lit sans rien ressentir ou presque.
On a ce flic presque retraité qui semblait blasé mais qui devient, sans qu'on n'arrive à comprendre pourquoi, très téméraire même avec un bras amputé et, qui plus est, amputé de son bras fort.... C'est excessivement mal écrit.
J'aime le trait de l'auteur mais la plastique est son seul atout, ça se lit mais le cerveau n'est qu'optionnel.
Il faut que cet auteur se rapproche d'un scénariste car bien que l'on pardonne à Yan ses errance grâce aussi au bon. travail de Glénat qui a fait les choses bien pour cet artiste (sauf manque sur les illustrations toujours cropés et pas présente pour certains personnages).
J'ai envie de croire en Chang Sheng mais ayant presque tout lu, je me demande si c'est pssible.
Bonne lecture, en éspérant que vous l'apprécierez plus que moi.