Après l'immonde Zelphy, j'étais très inquiet devant cette nouvelle série d'Etorôji Shiono, surtout que la suite d'Ubel Blätt se fait attendre.
Néanmoins, si Zelphy se révélait médiocre dès son premier volume et n'a fait qu'empiré. Cette série par sur de meilleurs auspices. Les personnages ont tous une personalité dévelloppée, quoique superficielle pour l'instant. La princesse Nadarika, méchante de service, a une motivation elle aussi sommaire mais qui a le mérite d'être logique et surtout plus originale que la bête soif de pouvoir. Les mobiles de la nation d'Yggländ sont pour l'instant inconnus, mais au vu des personnages, on peut espérer qu'ils sont un peu plus complexe que «nous allons conquérir le monde parce que nous n'avons rien de mieux à faire ce week-end».
Ce premier volume n'est pas aussi prenant que l'était le premier volume d'Ubel Blätt, car il se résume à une longue introduction des personnages, de l'univers et des enjeux, mais il fait sans la moindre faute (on échappe même au fan-service habituel de l'auteur, du moins pour l'instant). A défaut d'être extraordinaire, la série est agréable et correctement commencée, elle mérite donc qu'on lui laisse sa chance.
De Hurleguerre, le 25 Septembre 2017 à 13h46
Après l'immonde Zelphy, j'étais très inquiet devant cette nouvelle série d'Etorôji Shiono, surtout que la suite d'Ubel Blätt se fait attendre.
Néanmoins, si Zelphy se révélait médiocre dès son premier volume et n'a fait qu'empiré. Cette série par sur de meilleurs auspices. Les personnages ont tous une personalité dévelloppée, quoique superficielle pour l'instant. La princesse Nadarika, méchante de service, a une motivation elle aussi sommaire mais qui a le mérite d'être logique et surtout plus originale que la bête soif de pouvoir. Les mobiles de la nation d'Yggländ sont pour l'instant inconnus, mais au vu des personnages, on peut espérer qu'ils sont un peu plus complexe que «nous allons conquérir le monde parce que nous n'avons rien de mieux à faire ce week-end».
Ce premier volume n'est pas aussi prenant que l'était le premier volume d'Ubel Blätt, car il se résume à une longue introduction des personnages, de l'univers et des enjeux, mais il fait sans la moindre faute (on échappe même au fan-service habituel de l'auteur, du moins pour l'instant). A défaut d'être extraordinaire, la série est agréable et correctement commencée, elle mérite donc qu'on lui laisse sa chance.