Mon dieu... pas du tout ce à quoi je m'attendais, ce n'est qu'après avoir complété la lecture du manga que j'ai compris le sens de la préface rédigée par l'auteur. Des histoires tristes, il y en a à la pelletée, mais celle-ci va au delà de la tristesse... Il s'agit d'un récit autobiographique et non d'une fiction, et je ne peux pas dire que j'en ai apprécié la lecture (qui pourrait l'apprécier, le sujet étant la perte d'un être cher?), mais il m'a profondément touché. Au point de ne pas en dormir la nuit. L'angoisse, la solutide, la détresse... La lecture de ce manga est une expérience en soit. Conseil d'amie: n'en faite pas votre lecture de chevet!
Excellent manga bouleversant de réalité. L'auteur s'en excuse alors que ce n'est que la réalité. L'avoir dessiné "à chaud" comme il le dit, nous fait au contraire , réaliser à quel point ce genre d'évènement nous fait perdre le sens des priorités alors que nous croyons tout maîtriser. A lire et à relire !
boulversant mais magnifique et surtout très vrai. la perte, le deuil, continuer... des expériences longues, terribles à traverser, ici Ueno le montre avec justesse et beauté. Une beauté déchirante et tragique. Certe le manga traîte de la mort mais également et inévitablement aussi de la vie.
Ce one-shot consacré à la perte soudaine de l'épouse de Kentaro Ueno est à la fois proche de l'exhaustivité dans toutes les phases qu'il met en scène. La violence du deuil est suggérée graphiquement à plusieurs reprises par des visages décomposés ou torturés: le procédé à quelque chose de brut, voire de naïf, mais rend bien compte du tourment indicible que l'on doit vivre en de tels moments.
Contrairement à d'autres récits tragiques, la bravoure familiale ou la mélancolie contemplative ne vont pas aténuer la vérité prosaïque des événements, et des agissements du père. Kentaro Ueno a réussi un équilibre douloureux entre la vérité du deuil et ces passages sans monologues, qui suggèrent bien plus.
"Sans même nous dire au revoir" n'est pas conçu en vu d'une catharsis explicite, mais son approche réaliste abolie les différences propres aux cultures et m'a donné l'impression de compatir- au sens fort du terme - avec l'auteur.
De Ruya [94 Pts], le 07 Octobre 2015 à 03h59
Mon dieu... pas du tout ce à quoi je m'attendais, ce n'est qu'après avoir complété la lecture du manga que j'ai compris le sens de la préface rédigée par l'auteur. Des histoires tristes, il y en a à la pelletée, mais celle-ci va au delà de la tristesse... Il s'agit d'un récit autobiographique et non d'une fiction, et je ne peux pas dire que j'en ai apprécié la lecture (qui pourrait l'apprécier, le sujet étant la perte d'un être cher?), mais il m'a profondément touché. Au point de ne pas en dormir la nuit. L'angoisse, la solutide, la détresse... La lecture de ce manga est une expérience en soit. Conseil d'amie: n'en faite pas votre lecture de chevet!
De Kuris [972 Pts], le 18 Mars 2013 à 12h10
Excellent manga bouleversant de réalité. L'auteur s'en excuse alors que ce n'est que la réalité. L'avoir dessiné "à chaud" comme il le dit, nous fait au contraire , réaliser à quel point ce genre d'évènement nous fait perdre le sens des priorités alors que nous croyons tout maîtriser. A lire et à relire !
De bruce [488 Pts], le 23 Juin 2012 à 12h37
boulversant mais magnifique et surtout très vrai. la perte, le deuil, continuer... des expériences longues, terribles à traverser, ici Ueno le montre avec justesse et beauté. Une beauté déchirante et tragique. Certe le manga traîte de la mort mais également et inévitablement aussi de la vie.
De le gritche, le 08 Avril 2012 à 00h17
Ce one-shot consacré à la perte soudaine de l'épouse de Kentaro Ueno est à la fois proche de l'exhaustivité dans toutes les phases qu'il met en scène. La violence du deuil est suggérée graphiquement à plusieurs reprises par des visages décomposés ou torturés: le procédé à quelque chose de brut, voire de naïf, mais rend bien compte du tourment indicible que l'on doit vivre en de tels moments.
Contrairement à d'autres récits tragiques, la bravoure familiale ou la mélancolie contemplative ne vont pas aténuer la vérité prosaïque des événements, et des agissements du père. Kentaro Ueno a réussi un équilibre douloureux entre la vérité du deuil et ces passages sans monologues, qui suggèrent bien plus.
"Sans même nous dire au revoir" n'est pas conçu en vu d'une catharsis explicite, mais son approche réaliste abolie les différences propres aux cultures et m'a donné l'impression de compatir- au sens fort du terme - avec l'auteur.
De mysassygirl [522 Pts], le 15 Décembre 2011 à 13h01
un bon one shot, mais vraiment triste que seul les gens ayant perdu un être cher peuvent comprendre pleinement
De Yumi [2150 Pts], le 05 Novembre 2011 à 15h24
Un magnifique manga qui nous raconte le sentiment de perte à chaud
De dkrevenge [2696 Pts], le 05 Novembre 2011 à 00h55
que dire... c est pas gai du tout... comment se remettre de la mort de sa femme ? la vie continue ?