Un tome encore un peu lent. On voit arriver le méchant Kan et il relance l'histoire. Il reste 7 robots et visiblement on les aura tous sur la fin.. Etrange vu la puissance de ces robots mais bon on verra bien. On reste de cette histoire de philiosophie autour de l'ego et des sentiments des robots mais sans le talent d'un azimov ou même de pinocchio. L'auteur en fait des tonnes et c'est lourd. Quelques incohérences, origin est détruit mais se reconstruit en une nuit quasiment sans matériel et surtout sans cette fameuse électricité dont on nous dit à longueur de temps qu'il en consomme autant qu'une ville. La gentille présidents n'est finalement pas si méchante mais se repentit : ça ne colle pas.
La toute fin du tome relance l'histoire vers le final. Ces deux derniers tomes m'ont un peu laissé sur ma faim. Heureusement le dessin est toujours aussi beau.
Dans cette série impeccable depuis son premier tome, ce huitième tome s’inscrit comme un jalon majeur, et le plus puissant selon moi. On comprend qu’on assiste à un moment de bascule dans l’histoire, et que le final arrive à grands pas. Compte tenu des développements toujours excellents que Boichi a amené à sa série et son héros jusqu’à présent, je ne vois pas comment il pourrait se rater. En l’état, ce volume 8 est magnifique et rend la série une fois de plus indispensable à mes yeux.
De Docfred [1004 Pts], le 11 Octobre 2020 à 08h46
Un tome encore un peu lent. On voit arriver le méchant Kan et il relance l'histoire. Il reste 7 robots et visiblement on les aura tous sur la fin.. Etrange vu la puissance de ces robots mais bon on verra bien. On reste de cette histoire de philiosophie autour de l'ego et des sentiments des robots mais sans le talent d'un azimov ou même de pinocchio. L'auteur en fait des tonnes et c'est lourd. Quelques incohérences, origin est détruit mais se reconstruit en une nuit quasiment sans matériel et surtout sans cette fameuse électricité dont on nous dit à longueur de temps qu'il en consomme autant qu'une ville. La gentille présidents n'est finalement pas si méchante mais se repentit : ça ne colle pas.
La toute fin du tome relance l'histoire vers le final. Ces deux derniers tomes m'ont un peu laissé sur ma faim. Heureusement le dessin est toujours aussi beau.
De ApprentiOtaku [68 Pts], le 03 Mai 2020 à 07h58
Dans cette série impeccable depuis son premier tome, ce huitième tome s’inscrit comme un jalon majeur, et le plus puissant selon moi. On comprend qu’on assiste à un moment de bascule dans l’histoire, et que le final arrive à grands pas. Compte tenu des développements toujours excellents que Boichi a amené à sa série et son héros jusqu’à présent, je ne vois pas comment il pourrait se rater. En l’état, ce volume 8 est magnifique et rend la série une fois de plus indispensable à mes yeux.