Aaaaah, d'accord ! Tout est parfaitement clair à présent ! Donc, à propos du « puits », ce monde virtuel généré à partir de la détection d'une volonté meurtrière : - Il suit ses propres règles, donc peu importe qu'il s'y passe quelque chose d'impossible, c'est normal. C'est pratique, ça permet de justifier absolument n'importe quoi. - Il est très librement inspiré du monde réel, mais les événements qui s'y déroulent n'ont aucun lien avec la réalité. - Ceux qui y plongent jouent aux grands détectives et doivent y élucider la mort fictive d'une fille qui n'existe pas en vrai. Et le fait qu'ils soient amnésiques quand ils s'y réveillent, c'est du bonus. - Il peut avoir des conséquences néfastes sur ses utilisateurs. Donc oui, de toute évidence, c'est l'outil parfait pour assister la police dans les affaires criminelles.
Et puis bon, est-ce bien utile de détailler des concepts physiques si c'est juste pour jouer avec sans savoir ce qu'on fait ?
En dehors de ça, ce troisième et dernier tome confirme tout le bien qu'on pensait de la série dans les deux précédents : le mangaka se plaît juste à mettre en scène des cascades qui ne riment à rien, et la plupart des questions restent sans réponse. D'ailleurs, si l'enquête de base est résolue tant bien que mal, ce qu'elle a entraîné ne l'est pas : le manga est fini, mais le dernier chapitre s'intitule carrément « À suivre ». Désolé, mais si un éditeur a l'idée farfelue de faire paraître une suite, ce sera sans moi. La prochaine fois que j'aurai envie de plonger dans l'esprit d'un tueur, je rejouerai plutôt à The Evil Within.
De Voq [735 Pts], le 03 Avril 2022 à 16h54
Aaaaah, d'accord ! Tout est parfaitement clair à présent !
Donc, à propos du « puits », ce monde virtuel généré à partir de la détection d'une volonté meurtrière :
- Il suit ses propres règles, donc peu importe qu'il s'y passe quelque chose d'impossible, c'est normal. C'est pratique, ça permet de justifier absolument n'importe quoi.
- Il est très librement inspiré du monde réel, mais les événements qui s'y déroulent n'ont aucun lien avec la réalité.
- Ceux qui y plongent jouent aux grands détectives et doivent y élucider la mort fictive d'une fille qui n'existe pas en vrai. Et le fait qu'ils soient amnésiques quand ils s'y réveillent, c'est du bonus.
- Il peut avoir des conséquences néfastes sur ses utilisateurs.
Donc oui, de toute évidence, c'est l'outil parfait pour assister la police dans les affaires criminelles.
Et puis bon, est-ce bien utile de détailler des concepts physiques si c'est juste pour jouer avec sans savoir ce qu'on fait ?
En dehors de ça, ce troisième et dernier tome confirme tout le bien qu'on pensait de la série dans les deux précédents : le mangaka se plaît juste à mettre en scène des cascades qui ne riment à rien, et la plupart des questions restent sans réponse. D'ailleurs, si l'enquête de base est résolue tant bien que mal, ce qu'elle a entraîné ne l'est pas : le manga est fini, mais le dernier chapitre s'intitule carrément « À suivre ».
Désolé, mais si un éditeur a l'idée farfelue de faire paraître une suite, ce sera sans moi. La prochaine fois que j'aurai envie de plonger dans l'esprit d'un tueur, je rejouerai plutôt à The Evil Within.