L’auteure a soigné son histoire tout le long, que ce soit pour le « moi intérieur » de Kei, la romance, les drames ou la psychologie de Kei ainsi que des autres personnages, bien que ce soit surtout cet enfant qui a tant souffert et qui même en grandissant, l’est resté inconsciemment.
De part son enfance affreuse, Kei a tué ses sentiments et émotions, faisant qu’il ne ressentait pas de douleurs, qu’il ne pleurait jamais, et sa psyché exposée qui montrait un enfant représentant la rationalité et l’autre les émotions est toujours d’actualité. Il ne comprenait pas les émotions, ni de simples paroles, il a commencé à les ressentir comme une maladie, un mal qui rongeait ses tripes pour enfin parvenir à les comprendre et les porter, à avoir des objectifs, des envies, des passion, grâce à Yutaka.
L’auteure utilise de jolies mise en scène pour certains événements, très émouvants, très empreints d’émotions, qu’ils soient beaux ou sanglants. Elle a su, jusqu’à la fin, représenter parfaitement une forme aiguë d’un effet mental post-traumatique.
Une forme de message disant que l’amour qu’une personne vous porte peut vous soigner, vous guérir, se voit à travers ces pages. Ces enfants du « moi intérieur » de Kei vont enfin pouvoir grandir.
De Ryuku [2749 Pts], le 09 Juillet 2019 à 10h16
Le 3e et dernier tome de Gift m’a beaucoup plu !
L’auteure a soigné son histoire tout le long, que ce soit pour le « moi intérieur » de Kei, la romance, les drames ou la psychologie de Kei ainsi que des autres personnages, bien que ce soit surtout cet enfant qui a tant souffert et qui même en grandissant, l’est resté inconsciemment.
De part son enfance affreuse, Kei a tué ses sentiments et émotions, faisant qu’il ne ressentait pas de douleurs, qu’il ne pleurait jamais, et sa psyché exposée qui montrait un enfant représentant la rationalité et l’autre les émotions est toujours d’actualité. Il ne comprenait pas les émotions, ni de simples paroles, il a commencé à les ressentir comme une maladie, un mal qui rongeait ses tripes pour enfin parvenir à les comprendre et les porter, à avoir des objectifs, des envies, des passion, grâce à Yutaka.
L’auteure utilise de jolies mise en scène pour certains événements, très émouvants, très empreints d’émotions, qu’ils soient beaux ou sanglants. Elle a su, jusqu’à la fin, représenter parfaitement une forme aiguë d’un effet mental post-traumatique.
Une forme de message disant que l’amour qu’une personne vous porte peut vous soigner, vous guérir, se voit à travers ces pages. Ces enfants du « moi intérieur » de Kei vont enfin pouvoir grandir.