Chihaya au sommet ! Face à son ami de toujours, elle montre toute l'étendue de ses capacités. On est à fond dans le match et son intensité nous empêche de détourner les yeux un seul instant ! Heureusement qu'il se termine dans le même volume.
Honnêtement, j'avais très envie de mettre un 18 voire un 19 à ce volume exceptionnel, mais je ne peux m'empêcher d'enlever un ou deux points à cause de cet abruti d'éditeur: je me demande comment Pika a pu se dire que ce serait une bonne idée, dans le résumé en 4e de couverture, de spoiler le résultat d'un match aussi important que celui en cours, puis de spoiler ce qui arrive par la suite concernant Chihaya et Arata. Des moments aussi importants, aussi symboliques, j'aurais aimé les découvrir directement à la lecture, avec l'intensité et la surprise adéquates. Là, Pika a juste complètement niqué les effets de la mangaka.
A part ça pourtant, quel volume incroyable. Quelle montée d'intensité, quel symbole que cet ultime match par équipe pour les années lycéennes de Chihaya et de ses amis. Sans oublier l'irruption tant espérée d'un certain personnage. Vite et bien, Yuki Suetsugu offre des moments forts à plusieurs visages comme Tamaru ou Maigrichon, mais dans la deuxième moitié du volume on reste avant tout soufflé par ce que Chihaya dégage et par tout ce que représente son duel. Le rythme est impeccable, la narration enlevée, un véritable souffle parcourt tout ce volume intense et même émouvant. Le genre de moment grandiose qui me rappelle pourquoi, même si j'ai parfois trouvé la série longuette par le passé, je continue de lire Chihayafuru avec toujours autant d'intérêt et d'attente.
De Emea [306 Pts], le 06 Avril 2021 à 10h44
Chihaya au sommet ! Face à son ami de toujours, elle montre toute l'étendue de ses capacités. On est à fond dans le match et son intensité nous empêche de détourner les yeux un seul instant ! Heureusement qu'il se termine dans le même volume.
De Koiwai [12693 Pts], le 07 Mars 2020 à 17h24
Honnêtement, j'avais très envie de mettre un 18 voire un 19 à ce volume exceptionnel, mais je ne peux m'empêcher d'enlever un ou deux points à cause de cet abruti d'éditeur: je me demande comment Pika a pu se dire que ce serait une bonne idée, dans le résumé en 4e de couverture, de spoiler le résultat d'un match aussi important que celui en cours, puis de spoiler ce qui arrive par la suite concernant Chihaya et Arata. Des moments aussi importants, aussi symboliques, j'aurais aimé les découvrir directement à la lecture, avec l'intensité et la surprise adéquates. Là, Pika a juste complètement niqué les effets de la mangaka.
A part ça pourtant, quel volume incroyable. Quelle montée d'intensité, quel symbole que cet ultime match par équipe pour les années lycéennes de Chihaya et de ses amis. Sans oublier l'irruption tant espérée d'un certain personnage. Vite et bien, Yuki Suetsugu offre des moments forts à plusieurs visages comme Tamaru ou Maigrichon, mais dans la deuxième moitié du volume on reste avant tout soufflé par ce que Chihaya dégage et par tout ce que représente son duel. Le rythme est impeccable, la narration enlevée, un véritable souffle parcourt tout ce volume intense et même émouvant. Le genre de moment grandiose qui me rappelle pourquoi, même si j'ai parfois trouvé la série longuette par le passé, je continue de lire Chihayafuru avec toujours autant d'intérêt et d'attente.