Voilà Arte arrivée en Espagne ... qu'elle repart déjà. Dès le résumé du tome on apprend qu'une ellipse de 8 ans a eu lieu. On apprend presque rien de son séjour alors qu'à mes yeux il y avait tant à développer dessus...
Notre portraitiste préférée part donc pour de nouvelles aventures, la situation géopolitique a complètement changé (ça on nous l'a bien expliqué).
Logiquement on s'attend aussi à du changement pour notre héroïne, qu'on a laissé jeune femme et qu'on retrouve adulte confirmée. Personnellement je ne souligne aucun changement dans sa personnalité ou pour une certaine prise de maturité...
Fort heureusement le nouvel arc est un minimum intéressant, même si les nouveaux personnages seront rapidement oubliés tant ils ne transpirent pas le charisme.
L'enjeu sauve le tome de l'ennui total. Il n'y a pas de suspens, certes, juste un moment qui réhausse la note mais globalement ce seizième volume d'Arte est le premier à être de qualité discutable. On nous enlève un pan entier de la vie d'Arte pour un passage que l'on attendait pas de suite et qui est loin d'être reluisant.
Je suis assez déçu par ce tome. J'ai d'abord trouvé une baisse de qualité dans les graphismes. Je ne comprends pas pourquoi le dessinateur a ajouté des ombres aux nez et je trouve les visages moins travaillé et inexpressifs. Les décors sont également sommaires.
Concernant l'intrigue, j'ai du mal à comprendre la démarche d'Arte qui risque sa vie et celle d'autres personnes pour retrouver Léo alors que ce dernier ne lui a même pas envoyé une seule lettres. Elle a dû faire d'autres rencontres en 8 ans à la cour de Castille.
Je trouve également le personnage d'Arte assez passifs. Je regrette le personnage d'Arte qui s'affranchissait des conventions de son époque pour faire changer le regards de ses contemporains sur leur monde. Et qui bousculait les conventions de son époque avec dynamisme et joie de vivre. Au fil des tomes, le personnage d'Arte perd en saveur et se laisse balloter par les évènements. Vu le contexte et l'époque, c'est plus réaliste mais ce n'est pas ça que je recherche en lisant un tome de cette série.
Grosse déception pour ce tôme 16 qui nous apprend au court d'un dialogue, pas même en naration en début de chapitre, que 8 se sont écoulées depuis le tôme précedent. Et la décepetion grandit quand, vérifiant le tôme précédent, je me rend compte que l'élipse a en fait eu lieu dans le tôme 15 entre l'avant drnier et le dernier chapitre et que le début de ce tôme jusqu'à un peu avant la monté dans la galère est un flashback de plus d'un mois ( le temps entre m'embauche de Guido et sa rencontre avec Arte). C'est narativement très destabilisant et je suppose que d'autres doivent partager ma déception de ne pas voir l'évolution d'Arte à la court de Castille puis de Portugal ( car non seulement on fait un saut dans le temps mais aussi dans l'espace puisque Dame Irène a épousé le roi du Portugal entre-temps).
Bref avec ce sentiment d'avoir été privé de nombreuses aventures d'Arté, c'est sans doute le pire tôme de la série.
De Flozer [1880 Pts], le 18 Novembre 2022 à 11h58
Voilà Arte arrivée en Espagne ... qu'elle repart déjà. Dès le résumé du tome on apprend qu'une ellipse de 8 ans a eu lieu. On apprend presque rien de son séjour alors qu'à mes yeux il y avait tant à développer dessus...
Notre portraitiste préférée part donc pour de nouvelles aventures, la situation géopolitique a complètement changé (ça on nous l'a bien expliqué).
Logiquement on s'attend aussi à du changement pour notre héroïne, qu'on a laissé jeune femme et qu'on retrouve adulte confirmée. Personnellement je ne souligne aucun changement dans sa personnalité ou pour une certaine prise de maturité...
Fort heureusement le nouvel arc est un minimum intéressant, même si les nouveaux personnages seront rapidement oubliés tant ils ne transpirent pas le charisme.
L'enjeu sauve le tome de l'ennui total. Il n'y a pas de suspens, certes, juste un moment qui réhausse la note mais globalement ce seizième volume d'Arte est le premier à être de qualité discutable. On nous enlève un pan entier de la vie d'Arte pour un passage que l'on attendait pas de suite et qui est loin d'être reluisant.
De Elodie60, le 12 Novembre 2022 à 11h36
Je suis assez déçu par ce tome. J'ai d'abord trouvé une baisse de qualité dans les graphismes. Je ne comprends pas pourquoi le dessinateur a ajouté des ombres aux nez et je trouve les visages moins travaillé et inexpressifs. Les décors sont également sommaires.
Concernant l'intrigue, j'ai du mal à comprendre la démarche d'Arte qui risque sa vie et celle d'autres personnes pour retrouver Léo alors que ce dernier ne lui a même pas envoyé une seule lettres. Elle a dû faire d'autres rencontres en 8 ans à la cour de Castille.
Je trouve également le personnage d'Arte assez passifs. Je regrette le personnage d'Arte qui s'affranchissait des conventions de son époque pour faire changer le regards de ses contemporains sur leur monde. Et qui bousculait les conventions de son époque avec dynamisme et joie de vivre. Au fil des tomes, le personnage d'Arte perd en saveur et se laisse balloter par les évènements. Vu le contexte et l'époque, c'est plus réaliste mais ce n'est pas ça que je recherche en lisant un tome de cette série.
De asclepios91 [818 Pts], le 21 Octobre 2022 à 16h37
Grosse déception pour ce tôme 16 qui nous apprend au court d'un dialogue, pas même en naration en début de chapitre, que 8 se sont écoulées depuis le tôme précedent. Et la décepetion grandit quand, vérifiant le tôme précédent, je me rend compte que l'élipse a en fait eu lieu dans le tôme 15 entre l'avant drnier et le dernier chapitre et que le début de ce tôme jusqu'à un peu avant la monté dans la galère est un flashback de plus d'un mois ( le temps entre m'embauche de Guido et sa rencontre avec Arte). C'est narativement très destabilisant et je suppose que d'autres doivent partager ma déception de ne pas voir l'évolution d'Arte à la court de Castille puis de Portugal ( car non seulement on fait un saut dans le temps mais aussi dans l'espace puisque Dame Irène a épousé le roi du Portugal entre-temps).
Bref avec ce sentiment d'avoir été privé de nombreuses aventures d'Arté, c'est sans doute le pire tôme de la série.