- Titre VO: うるわしの宵の月
- Titre traduit: Uruwashi no Yoi no Tsuki
- Dessin : Mika YAMAMORI
- Scénario : Mika YAMAMORI
- Editeur VF: Pika
- Collection: Cherry Blush
- Type: Shojo
- Genre: Romance, Tranche-de-vie
- Editeur VO: Kôdansha
- Prépublication: Dessert
- Date de publication: 19 Juin 2024
- Illustration: 192 pages n&b
- Origine: Japon - 2020
- Code EAN : 9782811690489
- Code prix: PK31
Age conseillé
Prix public
7.20 €
Une fille qui ressemble à un prince, ça change !
Résumé
À la suite du froid qui s'était installé au sein du couple, à cause de la déclaration d'Ôji, Ichimura, pris de remords, décide de faire son maximum pour se rattraper aux yeux de Yoi. En parallèle, le festival culturel approche et le duo se retrouve en difficulté lorsqu'ils souhaitent passer du temps ensemble tout en gardant leur relation secrète…
Les points forts de la série
Shôjo illustrant le renouveau du genre au Japon, Ton visage au clair de lune met en scène Yoi, une jeune adolescente androgyne qui fascinent les filles comme les garçons, et Ichimura, un garçon populaire qui plait beaucoup aux filles.
Au travers de ce récit, la mangaka aborde le thème de l’androgynie et du regard que les adolescents portent sur leurs propres corps mais aussi sur le corps de leurs camarades de classe. Même si elle aime se sentir utile et appréciée, Yoi n’est pas à l’aise avec le fait d’être appelée « Prince » alors qu’elle est une fille et aimerait être traitée comme telle. Ses sentiments contradictoires la frustrent d’autant plus qu’elle ne peut pas changer son physique et encore moins son caractère. Et le peu de considération ou la jalousie des garçons à son égard sont autant de coups portés à sa féminité.
Avec beaucoup de tendresse et de justesse, la mangaka brosse le portrait d’une jeune adolescente qui ne sait plus comment se comporter face aux regards des autres et d’un jeune garçon qui la trouve tout simplement belle et drôle. Graphiquement, le réalisme des expressions des visages qui passent par mille émotions est très bien retranscrit par le trait de la mangaka dans le style des shôjo nouvelle vague tel que Mon coloc’ d’enfer. Rapidement le lecteur est happé par cette histoire dont on espère qu’elle aura une issue heureuse.
Au travers de ce récit, la mangaka aborde le thème de l’androgynie et du regard que les adolescents portent sur leurs propres corps mais aussi sur le corps de leurs camarades de classe. Même si elle aime se sentir utile et appréciée, Yoi n’est pas à l’aise avec le fait d’être appelée « Prince » alors qu’elle est une fille et aimerait être traitée comme telle. Ses sentiments contradictoires la frustrent d’autant plus qu’elle ne peut pas changer son physique et encore moins son caractère. Et le peu de considération ou la jalousie des garçons à son égard sont autant de coups portés à sa féminité.
Avec beaucoup de tendresse et de justesse, la mangaka brosse le portrait d’une jeune adolescente qui ne sait plus comment se comporter face aux regards des autres et d’un jeune garçon qui la trouve tout simplement belle et drôle. Graphiquement, le réalisme des expressions des visages qui passent par mille émotions est très bien retranscrit par le trait de la mangaka dans le style des shôjo nouvelle vague tel que Mon coloc’ d’enfer. Rapidement le lecteur est happé par cette histoire dont on espère qu’elle aura une issue heureuse.