Onmyoji - Celui qui parle aux demons Vol.1 - Actualité manga

Onmyoji - Celui qui parle aux demons Vol.1

Onmyouji

Manga - Manhwa - Onmyoji - Celui qui parle aux demons Vol.1
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Age conseillé
Prix public
14.99 €

Résumé

Ce premier volume de Onmyôji, celui qui parle aux démons est une présentation des principaux personnages de la série et une introduction à l’époque où elle se déroule.

Où Abe-no-Seimei apprend son art sur les pas de Tadayuki son maître.
Encore enfant, Abe-no-Seimei fait ses premiers pas en compagnie de son maître Kamo
Tadayuki sur les chemins fréquentés par les esprits malins et les âmes courroucées des ténèbres aux mille sortilèges. Seimei ayant senti approcher une entité maléfi que avant tous, Tadayuki reconnaît en lui un don exceptionnel pour les pratiques du Yin et du Yang. De ce jour, il en fait son principal disciple et lui enseigne tous ses secrets.

Où un luth appelé « l’Éléphant Noir » est dérobé par un démon.
Un luth incomparable ayant appartenu à l’empereur Daigo et appelé “l’Eléphant Noir”, est dérobé au palais impérial. Un soir, Hiromasa reconnaît le son de “l’Eléphant Noir” provenant de la porte Rashômon. Il s’y rend alors avec Seimei et le bonze Semimaru dans l’espoir de le récupérer, mais à leur arrivée, ils découvrent que l’instrument est habité par un esprit...

Gardénia – la femme sans bouche.
Un bonze du temple Myôan-ji voit apparaître tous les soirs une femme sans bouche. Seimei et Hiromasa vont se rendre sur place pour comprendre le phénomène. En enquêtant sur cette hantise, Abe-no-Seimei va mettre en avant l’importance, pour un moine, de bien recopier des sutras.

Top de la rédaction

"Aux côtés de Abe-no-Seimei, l'onmyôji de la cour impériale, plongez dans un univers mystique, envoûtant, raffiné, et contemplez les multiples facettes la culture japonaise avec un œil neuf. Une façon de lire du manga autrement et de se cultiver en même temps, assurément."

Critique

ertains titres semblent voués à un échec commercial en France, et ce dès la couverture ou les premières pages. Maintenant, est-ce la faute du titre lui-même ? Parfois oui, parfois non. Par exemple, le genre dit « yôkai » n’est guère vendeur en francophonie, malgré les qualités de bien...

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