Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 13 Janvier 2017
Désormais en première, Maeda continue d'assumer ses responsabilités de leader au sein du lycée technique Teiken. Dans ce cinquième opus, Masanori Morita nous proposera plusieurs petites histoires mêlant comédie et baston, avec en fil rouge un Maeda qui aura la tâche d'arbitrer ou régler des conflits divers et variés.
Les histoires de cœur seront toujours aussi présentes dans ce tome. En effet dans un chapitre, nous ferons la connaissance d'une jeune fille qui "observe" Ohashi, l'un des membres du club de boxe qui va alors tenter d'impressionner la demoiselle en se donnant corps et âme à l'entrainement. Malheureusement pour Ohashi, les apparences sont parfois trompeuses et malgré un grand moment d'héroïsme, le lycéen apprendra à ses dépens que la jeune fille suivait en fait une autre personne... Dans un autre chapitre, Kazumi sera en pleine détresse suite à un retard de règles, qui lui fera croire qu'elle est tombée enceinte après une soirée arrosée avec son petit ami Katsuji... lui même accompagné de Maeda et Yoneji ! Parmi les trois loustics, qui est donc le père ??
Dans l'ouvrage on retrouvera également une histoire consacrée à Mafuyu. La lycéenne, qui avait été introduite dans un volume précédent, va révéler un nouveau pan de son passé alors que Mihara, un élève d'un autre lycée, fait son retour après avoir passé quelques mois en prison. Ce mystérieux Mihara va vouloir se venger de Mafuyu et pour cela il ira même jusqu'à faire un raid dans le lycée Teiken, secondé par une multitude d'hommes armés de battes de baseball !! Avec cette histoire l'auteur nous offrira un récit plutôt intense, bien rythmé, et nous offrant de jolis moments d'action.
Enfin, le reste du volume sera constitué de chapitres purement comiques. On découvrira Maeda dans diverses situations délicates : amnésique, sous l'emprise de laxatifs... Bref notre héros ne sera pas épargné !
Offrant toujours une lecture sympathique, Racaille Blues conserve son rythme de croisière, sans décevoir mais sans briller non plus. Espérons que Maeda ne s'enferme pas dans son rôle de chevalier au grand cœur et que l'auteur lui donne plus d'épaisseur prochainement, sans quoi le manga risque de lasser à la longue...
Les histoires de cœur seront toujours aussi présentes dans ce tome. En effet dans un chapitre, nous ferons la connaissance d'une jeune fille qui "observe" Ohashi, l'un des membres du club de boxe qui va alors tenter d'impressionner la demoiselle en se donnant corps et âme à l'entrainement. Malheureusement pour Ohashi, les apparences sont parfois trompeuses et malgré un grand moment d'héroïsme, le lycéen apprendra à ses dépens que la jeune fille suivait en fait une autre personne... Dans un autre chapitre, Kazumi sera en pleine détresse suite à un retard de règles, qui lui fera croire qu'elle est tombée enceinte après une soirée arrosée avec son petit ami Katsuji... lui même accompagné de Maeda et Yoneji ! Parmi les trois loustics, qui est donc le père ??
Dans l'ouvrage on retrouvera également une histoire consacrée à Mafuyu. La lycéenne, qui avait été introduite dans un volume précédent, va révéler un nouveau pan de son passé alors que Mihara, un élève d'un autre lycée, fait son retour après avoir passé quelques mois en prison. Ce mystérieux Mihara va vouloir se venger de Mafuyu et pour cela il ira même jusqu'à faire un raid dans le lycée Teiken, secondé par une multitude d'hommes armés de battes de baseball !! Avec cette histoire l'auteur nous offrira un récit plutôt intense, bien rythmé, et nous offrant de jolis moments d'action.
Enfin, le reste du volume sera constitué de chapitres purement comiques. On découvrira Maeda dans diverses situations délicates : amnésique, sous l'emprise de laxatifs... Bref notre héros ne sera pas épargné !
Offrant toujours une lecture sympathique, Racaille Blues conserve son rythme de croisière, sans décevoir mais sans briller non plus. Espérons que Maeda ne s'enferme pas dans son rôle de chevalier au grand cœur et que l'auteur lui donne plus d'épaisseur prochainement, sans quoi le manga risque de lasser à la longue...
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