Kiss Ariki Vol.2 : Critiques

Tôru et Mutsumi continuent leur petite relation un peu malsaine. Le jeune chef du clan se perd dans le plaisir provoqué par Mutsumi. Ils entretiennent un rapport sexuel très particulier et intime. Mutsumi veut être le seul homme à jamais le satisfaire, et l’a d’ailleurs toujours été. Il refuse que quiconque d’autre ne l’approche. Malheureusement pour eux, Domoto s’en rend compte. C’est le fidèle serviteur de Toru, et il refuse absolument en bloc de voir son boss offrir son corps comme ça, à un homme alors qu’il a toujours détesté l’attirance des hommes. Et là, le garde du corps, serviteur et dévoué subordonné de Tôru, pète un câble. Personne n’a le droit de toucher à son patron, on n’a pas le droit de le dégrader comme ça. Alors il capture Mutsumi et veut lui régler son compte. En lui donnant une bonne correction, il désire plus que tout effacer le mal qu’il lui a fait. L’empêcher de recommencer. Mais Mutsumi ne compte pas se laisser faire, et encore moins accepter les accusations puisque Tôru est consentant.

Par la suite, Mutumi a l’impression de ne pas être assez important dans la vie de son … boss, petit ami ? Qui pourrait le dire … Une ombre surgit du passé de Tôru pour peut-être semer la zizanie entre eux. En quelques mots, l’histoire n’est pas vraiment très subtile. Tout ce qui compte ici, ce sont les scènes de sexe qui sont trèèèès explicites et évidentes. L’auteur en profite et c’est avant tout du fan service que l’on retrouve ici. Mais on s’en doutait. C’est typiquement la mangaka. Après, on passe malgré tout un bon moment et ce deuxième tome se lit bien, mais on regrette un peu la profondeur de l’univers mafieux du premier tome, bien plus élagué ici.