Critique du dvd : Mars Daybreak Vol.1
Publiée le Lundi, 28 Juillet 2008
Adaptation du jeux vidéo éponyme pour PS2 qui ne foulera jamais le sol de notre contrée, Mars Daybreak est une série de science-fiction prenant place, comme son nom l'indique, sur Mars. Dans le futur, Mars est habitée et presque entièrement recouverte d'eau. Bien entendu, toute étendue maritime se doit d'avoir des pirates dignes de ce nom. Et c'est bien malgré lui que Gram va se retrouver dans l'équipage de l'Aurore. La situation politique se dégrade, le peuple souffre. Il faut intervenir.
Voilà en gros ce qui vous attend avec cette série. Crée par Bones pour -sans doute- servir de vitrine publicitaire au jeu vidéo, la série ne manque pas de qualité graphique : c'est bien dessiné et coloré, dans un style peu japonisant soit très grand public. On trouve également des méchas, les round buckler, totalement sous-utilisés dans cette première partie. Du coup, ils font vraiment gadgets. Les personnages sont sympathiques mais trop convenus : le gentil héros plein de bonne volonté, la capitaine au style “Mamma”, la policière ex-copine du héros... Pas vraiment de surprise de ce côté là. Sauf peut-être le chat qui parle et le mécha-dauphin... Mais tout ce petit monde manque de charisme et n'arrive pas à intéresser. Même chose pour l'ambiance musicale : opening et ending manquent de personnalité, retiennent peu l'attention et se révèlent incapables de caractériser le titre.
L'intrigue aurait pu se développer dans un climat politique sombre et une révolution naissante mais... non. On a droit à une chasse au trésor. C'est gentillet, et ça tout au long des épisodes. On suit à chaque fois un ou plusieurs personnages de l'équipage de gentils pirates confrontés à divers problèmes ou à des méchants pas vraiment méchants, quand ce n'est pas un chassé-croisé pirates/forces de l'ordre. Au final, la série ne convainc pas et on s'ennuie pas mal.
On retiendra quelques références amusantes comme celle de l'université Nanterre de Mars qui rappelle bien évidemment Mai 68 non seulement par son nom mais aussi par les évènements qui s'y sont déroulés.
Neuf épisodes sous-titrés en français vous attendent ici. Pas de doublage français, pas de bonus à part les génériques neutres. Les menus DVD sont dans l'esprit de la série : sympa sans plus.
En conclusion, Mars Daybreak est une série sympathique très grand public mais qui reste très dispensable.
Voilà en gros ce qui vous attend avec cette série. Crée par Bones pour -sans doute- servir de vitrine publicitaire au jeu vidéo, la série ne manque pas de qualité graphique : c'est bien dessiné et coloré, dans un style peu japonisant soit très grand public. On trouve également des méchas, les round buckler, totalement sous-utilisés dans cette première partie. Du coup, ils font vraiment gadgets. Les personnages sont sympathiques mais trop convenus : le gentil héros plein de bonne volonté, la capitaine au style “Mamma”, la policière ex-copine du héros... Pas vraiment de surprise de ce côté là. Sauf peut-être le chat qui parle et le mécha-dauphin... Mais tout ce petit monde manque de charisme et n'arrive pas à intéresser. Même chose pour l'ambiance musicale : opening et ending manquent de personnalité, retiennent peu l'attention et se révèlent incapables de caractériser le titre.
L'intrigue aurait pu se développer dans un climat politique sombre et une révolution naissante mais... non. On a droit à une chasse au trésor. C'est gentillet, et ça tout au long des épisodes. On suit à chaque fois un ou plusieurs personnages de l'équipage de gentils pirates confrontés à divers problèmes ou à des méchants pas vraiment méchants, quand ce n'est pas un chassé-croisé pirates/forces de l'ordre. Au final, la série ne convainc pas et on s'ennuie pas mal.
On retiendra quelques références amusantes comme celle de l'université Nanterre de Mars qui rappelle bien évidemment Mai 68 non seulement par son nom mais aussi par les évènements qui s'y sont déroulés.
Neuf épisodes sous-titrés en français vous attendent ici. Pas de doublage français, pas de bonus à part les génériques neutres. Les menus DVD sont dans l'esprit de la série : sympa sans plus.
En conclusion, Mars Daybreak est une série sympathique très grand public mais qui reste très dispensable.