Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 30 Juin 2016
Tôta poursuit son entraînement dans la cour de l’académie où il a sauvé Santa qui est devenu un des numéros de UQ Holder. Ses exercices sont alors interrompus par une certaine Mana Tatsumiya qui se décrit comme une vieille amie de Negi Springfield, le grand-père de Tôta. Celle-ci souhaitant tester le garçon, en suit un combat où Mana démontre l’étendue de sa puissance. Plus intéressant encore, elle apprend au jeune homme la tenue dans un an du tournoi de Mahora qui a bien évolué depuis le temps, et le fait qu’un certain « Negi Springfield » se soit inscrit à cette compétition…
Negi Springfield semble bien être l’enjeux numéro un de cette suite à Negima !. L’arrivée de Mana au sein de l’intrigue n’a rien d’un hasard, l’œuvre entame un nouvel arc, de grande envergure cette fois, revenant sur de nombreux éléments phares de la précédente série de Ken Akamatsu et fixant différents objectifs, tout en gardant sous le coude suffisamment de mystères pour étoffer l’intrigue. Si on connaît Negima !, difficile de ne pas être émoustillé par ce qui nous attend tant le devenir de UQ Holder devrait expliquer ce qu’il est devenu du périple de Negi après avoir sauvé le Monde Magique.
Le volume se présente alors clairement comme un tome de transition. Nombre d’éléments sont mis en place pour nous préparer aux combats futurs et même si Negi devient un personnage phare par l’enjeux qu’il représente, la vedette revient bien à Tôta puisque la série se place de son point de vue. Ainsi, tel un digne de héros de shônen, ce dernier fait des rencontres qui l’amènent à évoluer et découvrir qui il est réellement. C’est dans cette optique qu’un antagoniste véritable, autre que Fate qui joue en réalité sur différents tableaux, entre en scène et apporte avec lui certaines vérités sur le héros. Le tout s’avère même un peu maladroit sur la forme tant l’introduction de cet ennemi transpire la facilité scénaristique. Toutefois, la série ne perd pas trop le temps et développe assez rapidement ses mystères, nous permettant d’en attendre bien plus que l’arc du tournoi de Mahora.
On pourrait aussi soulever l’évolution du personnage de Tôta, élément phare parmi le traitement des personnages, archétype de l’adolescent en quête d’identité qui ne semble pas être au bout de ses peines. Si la série fait presque dans le pathos à son sujet, les réactions du personnage restent somme toute logiques étant donné les informations révélées ici.
Car oui, Ken Akamatsu donne à son œuvre une compétition combative, élément classique des shônen d’action, mais qui s’annonce particulièrement plaisante dans UQ Holder grâce à la phase de qualifications développée dans ce tome et vouée à se poursuivre. Moins linéaire que le tournoi éponyme de Negima !, la compétition présente démontre une certaine originalité dans son schéma, il n’en fallait alors pas plus pour attiser notre curiosité et donné un potentiel certain à cette partie de l’histoire.
L’intrigue de UQ Holder poursuit donc son bonhomme de chemin, affirme toujours plus son lien avec Negima ! et se révèle même passionnante par les sentiers qu’elle aborde. Le tournoi qui se profile s’annonce donc particulièrement captivant, on espère que cette partie permettra à la série de se lancer définitivement et de ne pas jouer sur de courts arcs narratifs.
Negi Springfield semble bien être l’enjeux numéro un de cette suite à Negima !. L’arrivée de Mana au sein de l’intrigue n’a rien d’un hasard, l’œuvre entame un nouvel arc, de grande envergure cette fois, revenant sur de nombreux éléments phares de la précédente série de Ken Akamatsu et fixant différents objectifs, tout en gardant sous le coude suffisamment de mystères pour étoffer l’intrigue. Si on connaît Negima !, difficile de ne pas être émoustillé par ce qui nous attend tant le devenir de UQ Holder devrait expliquer ce qu’il est devenu du périple de Negi après avoir sauvé le Monde Magique.
Le volume se présente alors clairement comme un tome de transition. Nombre d’éléments sont mis en place pour nous préparer aux combats futurs et même si Negi devient un personnage phare par l’enjeux qu’il représente, la vedette revient bien à Tôta puisque la série se place de son point de vue. Ainsi, tel un digne de héros de shônen, ce dernier fait des rencontres qui l’amènent à évoluer et découvrir qui il est réellement. C’est dans cette optique qu’un antagoniste véritable, autre que Fate qui joue en réalité sur différents tableaux, entre en scène et apporte avec lui certaines vérités sur le héros. Le tout s’avère même un peu maladroit sur la forme tant l’introduction de cet ennemi transpire la facilité scénaristique. Toutefois, la série ne perd pas trop le temps et développe assez rapidement ses mystères, nous permettant d’en attendre bien plus que l’arc du tournoi de Mahora.
On pourrait aussi soulever l’évolution du personnage de Tôta, élément phare parmi le traitement des personnages, archétype de l’adolescent en quête d’identité qui ne semble pas être au bout de ses peines. Si la série fait presque dans le pathos à son sujet, les réactions du personnage restent somme toute logiques étant donné les informations révélées ici.
Car oui, Ken Akamatsu donne à son œuvre une compétition combative, élément classique des shônen d’action, mais qui s’annonce particulièrement plaisante dans UQ Holder grâce à la phase de qualifications développée dans ce tome et vouée à se poursuivre. Moins linéaire que le tournoi éponyme de Negima !, la compétition présente démontre une certaine originalité dans son schéma, il n’en fallait alors pas plus pour attiser notre curiosité et donné un potentiel certain à cette partie de l’histoire.
L’intrigue de UQ Holder poursuit donc son bonhomme de chemin, affirme toujours plus son lien avec Negima ! et se révèle même passionnante par les sentiers qu’elle aborde. Le tournoi qui se profile s’annonce donc particulièrement captivant, on espère que cette partie permettra à la série de se lancer définitivement et de ne pas jouer sur de courts arcs narratifs.