To Love Vol.11 - Actualité manga

To Love Vol.11 : Critiques

To Loveru

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 08 Juillet 2010

La première moitié de ce volume ne change pas la donne de la série. Au programme, une Oshizu se retrouvant dotée d'un nouveau corps humain (ou presque), une chasse à la méduse copieuse qui a tendance à faire de nos héroïnes de véritables débauchées, et le retour d'un Zastin toujours bien décidé à protéger Lala avec sa maladresse habituelle, le tout n'étant toujours qu'un prétexte pour mettre nos jeunes héroïnes dans des positions indécentes ou pour les revêtir de vêtements ô combien sexy, ce que réalise à merveille Kentaro Yabuki.
La deuxième moitié du tome, sans surprises, poursuit la série dans cette direction, mais cette fois-ci, les auteurs ont la bonne idée de nous proposer une histoire plus longue que la normale (elle n'est guère terminée à la fin de ce volume), dans laquelle Rito et sa bande se retrouvent catapultés dans un monde basé sur les règles d'un RPG, et au sein duquel ils devront faire face à une petite sorcière un brin vicieuse pour sauver une princesse... qui n'est autre que Lala ! Les règles du RPG, utilisées de manière simple mais cohérente, apportent un petit (tout petit) vent de fraîcheur dans la série, et permettent enfin d'amorcer un semblant d'évolution dans la relation entre Rito et Lala: pour vaincre la sorcière, notre héros se voit contraint de déclarer son amour à la princesse extraterrestre... Cela aura-t-il un influence sur la suite du manga ? On en doute fortement au vu de la manière dont est amenée la chose, mais on ne demande qu'à être surpris. Enfin, la fin du tome voit apparaître deux nouveaux personnages que l'on a plutôt hâte de découvrir.

Continuant d'accumuler sans surprises les scènes où les jeunes demoiselles se retrouvent vêtues d'habits sexy ou sont simplement dévêtues, ce onzième tome évite la note en dessous de 10 grâce à une deuxième partie de volume qui laisse place à une histoire plus longue que la normale, sympathique mais sans véritable originalité. En attendant de voir si la suite continuera de maintenir ce minimum syndical qui permet à la série de rester tout juste sympathique.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
12 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs