Slayers Knight of Aqua Lord Vol.6 - Actualité manga

Slayers Knight of Aqua Lord Vol.6 : Critiques

Slayers: Suiriyuuou no Kishi

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 27 Octobre 2009

Après la mort de Sans Nom, Lyos doit affronter Riksfalto. Pendant ce temps, Lina est ses amis sont en pleine détresse au village d'Olun, qui est attaqué par des démons. Olun laisse alors la possibilité à Lina d'accéder à la Tour du Vent pour que celle-ci puisse récupérer son pouvoir... Une fois cet objectif réussi, Lina utilise le pouvoir pour vaincre ses ennemis, mais cela n'est pas sans répercussions, puisque Huraker, l'ultime ennemi à abattre, arrive à prendre possession du corps de Lyos...

Après quelques nouveaux rebondissements, ce dernier volume de Slayers Knight of Aqua Lord voit se dérouler l'ultime combat, opposant Lina et Lyos à Huraker, et la série s'achève de manière somme toute très classique mais logique. L'ensemble n'est pas déplaisant à suivre, mais il y a de nombreuses choses à reprocher à ce dernier tome.
Si, comme c'était le cas pour les volumes précédents, l'ensemble est riche en rebondissements mais mené de manière parfois confuse et très linéaire, on reprochera surtout le fait que le véritable rôle de Lyos, au sujet duquel on nous répétait sans cesse qu'il est le chevalier du Roi Dragon de l'Eau, soit finalement assez mal défini. Même chose en ce qui concerne le destin de certains protagonistes, au sujet desquels l'ensemble reste assez flou, à commencer par Olun. Quant aux personnages secondaires comme Amelia et Gourry, leur utilité est très limitée. Quant à la fin, elle a le mérite d'exister mais reste expéditive.

Au final, ce dernier tome est sans surprises. L'histoire, assez basique depuis le début, se termine de la plus classique des manières. La narration assez plate et la confusion qui règne par moments n'aident pas le titre à se sortir de son statut de série de fantasy finalement très banale, et finalement, l'ensemble ne doit en grande partie son salut qu'au nom de Slayers.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
11 20
Note de la rédaction