Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 19 Novembre 2021
Alors qu'ils coulaient des jours à peu près paisibles à Aizu, l'heure est venue pour Shotaro, Gentaro, Mozu et Tasuke de reprendre la route. Désireux de vouloir retrouver Motokichi qui a a priori déserté Aizu, maître Hayakawa se met effectivement en route pour Kyoto, escorté par nos héros. Mais une fois sur place, un double évènement les attend: alors qu'ils découvrent le sort funeste qui a été réservé à Motokichi et qu'ils jurent de venger ce dernier pour le bien de Hayakawa, les quatre membres du Byakurentai font la connaissance de Shinsaku Takasugi, un révolutionnaire du domaine de Chôshû, qui déclare savoir que Rugi, l'ennemi juré de Gen et de Sho, se trouve actuellement dans la même ville qu'eux...
Après un huitième tome assez calme mais très, très loin d'être dénué d'intérêt (ne serait-ce que grâce à son traitement des personnages), la lutte contre l'envahisseur étranger risque alors, petit à petit, de reprendre pour nos héros, tandis que leur désir de vengeance envers Rugi s'intensifie de plus belle. Alors qu'ils arrivent à Kyoto, cette lutte prend un tournant important: tour à tour, les voici soulevés par la promesse de venger Motokichi, puis abasourdis par la rencontre avec Shinsaku Takasugi, personnage apparaissant d'emblée charismatique de par la force des convictions qu'il affiche. Un homme destiné à avoir beaucoup d'influence sur Shotaro et surtout sur Gentaro, tant il leur rappelle Kiyozo...
Dans ce volume, les nouveaux personnages destinés à prendre de l'importance sont légion, mais le fond reste dominé par la quête vengeresse des deux frères, qui, s'ils se voient confier un nouveau rôle à Kyoto, sont surtout à présent déterminés à venger Motokichi, et sont toujours décidés à retrouver un Rugi... ce dernier nous apparaissant plus machiavélique que jamais puisqu'il dévoile enfin ses nouvelles ambitions. On devine que ces différents axes se rejoindront, et que la lutte de nos héros se fera toujours plus intense et dangereuse, dans ce contexte historique chaotique certes quelque peu revisité, mais au fil duquel le mangaka continue de jouer sur une part de réalité historique en faisant appel à certains événements s'étant réellement déroulé, et à différentes figures ayant bien existé. En tête de ces figures ici, Shinsaku Takasugi bien sûr, mais aussi la réapparition d'un autre visage important dans des toutes dernières pages préparant la naissance d'un groupe emblématique de cette époque trouble...
Ainsi, porté ici par des personnages toujours aussi fougueux (Gen en tête) et charismatiques, ainsi que par des informations et des évolutions bienvenues, Sidooh continue de séduire allègrement.
Après un huitième tome assez calme mais très, très loin d'être dénué d'intérêt (ne serait-ce que grâce à son traitement des personnages), la lutte contre l'envahisseur étranger risque alors, petit à petit, de reprendre pour nos héros, tandis que leur désir de vengeance envers Rugi s'intensifie de plus belle. Alors qu'ils arrivent à Kyoto, cette lutte prend un tournant important: tour à tour, les voici soulevés par la promesse de venger Motokichi, puis abasourdis par la rencontre avec Shinsaku Takasugi, personnage apparaissant d'emblée charismatique de par la force des convictions qu'il affiche. Un homme destiné à avoir beaucoup d'influence sur Shotaro et surtout sur Gentaro, tant il leur rappelle Kiyozo...
Dans ce volume, les nouveaux personnages destinés à prendre de l'importance sont légion, mais le fond reste dominé par la quête vengeresse des deux frères, qui, s'ils se voient confier un nouveau rôle à Kyoto, sont surtout à présent déterminés à venger Motokichi, et sont toujours décidés à retrouver un Rugi... ce dernier nous apparaissant plus machiavélique que jamais puisqu'il dévoile enfin ses nouvelles ambitions. On devine que ces différents axes se rejoindront, et que la lutte de nos héros se fera toujours plus intense et dangereuse, dans ce contexte historique chaotique certes quelque peu revisité, mais au fil duquel le mangaka continue de jouer sur une part de réalité historique en faisant appel à certains événements s'étant réellement déroulé, et à différentes figures ayant bien existé. En tête de ces figures ici, Shinsaku Takasugi bien sûr, mais aussi la réapparition d'un autre visage important dans des toutes dernières pages préparant la naissance d'un groupe emblématique de cette époque trouble...
Ainsi, porté ici par des personnages toujours aussi fougueux (Gen en tête) et charismatiques, ainsi que par des informations et des évolutions bienvenues, Sidooh continue de séduire allègrement.