Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 19 Mars 2020
« Si Tsurugi ne peut plus tuer, alors il ne nous sert plus à rien. »
Des secondes classes du servamp de la colère se sont évadés de leur cellule pour libérer leur créatrice. L’alerte est donnée parmi les membres du C-3 et les choses se gâtent sérieusement. Tsurugi immobilise Mahiru et Kuro, avant de s’attaquer à son ami Jun comme le lui ordonne Tôma. Il devient de plus en plus clair que ce dernier manigance quelque chose dans le dos de tous, se servant sans aucun scrupule de Tsurugi comme d'un simple outil – pour qui il semblait pourtant ressentir une forme d’attachement à une époque.
Le tome entier est majoritairement accès sur Tsurugi. Tanaka Strike nous offre des brides du passé douloureux de son personnage le plus torturé. Sa psyché est à la fois brisée et complexe. Par extension, on se concentre également sur son escouade et plus précisément sur Jun avec qui il livre un combat acharné. Ces personnages gagnent en profondeur et le mangaka les rend attachants.
« C’est mon devoir de comprendre la douleur des autres ! Je l’entend crier ! Et j’ai bien l’intention… de le sauver ! »
Notre héros Mahiru est de nouveau laissé pour compte. Toutefois, il fait preuve de fougue et son envie, si ce n’est son besoin, de sauver Tsurugi, devient impérieuse. Il reste fidèle à lui-même même s’il doit subir une grande frustration de ne pouvoir rien faire (encore une fois…).
On apprécie de découvrir plus avant le servamp de la colère, seule femme de la fratrie. Bien qu’elle donne toujours l’impression d’être hors d’elle, au contraire elle se révèle être très douce et protectrice ; à l’image d’une mère, comme son surnom « The Mother » l’indique. Son comportement avec Tsurugi est particulièrement parlant et on a hâte de découvrir ce qui ressortira de leur rencontre.
Des secondes classes du servamp de la colère se sont évadés de leur cellule pour libérer leur créatrice. L’alerte est donnée parmi les membres du C-3 et les choses se gâtent sérieusement. Tsurugi immobilise Mahiru et Kuro, avant de s’attaquer à son ami Jun comme le lui ordonne Tôma. Il devient de plus en plus clair que ce dernier manigance quelque chose dans le dos de tous, se servant sans aucun scrupule de Tsurugi comme d'un simple outil – pour qui il semblait pourtant ressentir une forme d’attachement à une époque.
Le tome entier est majoritairement accès sur Tsurugi. Tanaka Strike nous offre des brides du passé douloureux de son personnage le plus torturé. Sa psyché est à la fois brisée et complexe. Par extension, on se concentre également sur son escouade et plus précisément sur Jun avec qui il livre un combat acharné. Ces personnages gagnent en profondeur et le mangaka les rend attachants.
« C’est mon devoir de comprendre la douleur des autres ! Je l’entend crier ! Et j’ai bien l’intention… de le sauver ! »
Notre héros Mahiru est de nouveau laissé pour compte. Toutefois, il fait preuve de fougue et son envie, si ce n’est son besoin, de sauver Tsurugi, devient impérieuse. Il reste fidèle à lui-même même s’il doit subir une grande frustration de ne pouvoir rien faire (encore une fois…).
On apprécie de découvrir plus avant le servamp de la colère, seule femme de la fratrie. Bien qu’elle donne toujours l’impression d’être hors d’elle, au contraire elle se révèle être très douce et protectrice ; à l’image d’une mère, comme son surnom « The Mother » l’indique. Son comportement avec Tsurugi est particulièrement parlant et on a hâte de découvrir ce qui ressortira de leur rencontre.
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