Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 09 Septembre 2020
L'affrontement opposant Camus et Hyoga, le maître et l'élève, s'est soldé par la victoire du second, ainsi, grâce notamment à l'aide de Deathmask et de Shura, Hyoga a pu sauver l'âme de sa fille!
Une fois le combat terminé, Camus reprend ses esprits et redevient le maître protecteur qu'il a toujours été!
Enfin Ikki entre en scène avec une mission bien précise: détruire les démons qui pullulent sur Terre!
Aussi étrange que cela puisse paraître, et une fois n'est pas coutume, j'ai trouvé ce tome assez plaisant! Bien entendu il est bourré de grand n'importe quoi et d'incohérences, on est bien loin du véritable esprit de Saint Seiya, mais ce que nous propose ici le catastrophique Okada est sans doute ce qu'il nous a proposé de mieux depuis le début!
L'affrontement entre Camus et Hyoga se termine donc et cela fait tout de même plaisir d'avoir une interaction, presque touchante, entre le maître et l'élève. Mais comme toujours dans ce titre, on passe rapidement à autre chose, on a le sentiment que chaque péripétie, chaque affrontement, est indépendant du reste.
Ikki fait son entrée en scène, et qu'on le veuille ou non, et ce quelque soit la série, il reste le personnage le plus charismatique!
S'ensuit alors une succession de séquences totalement WTF qui n'ont absolument aucun sens (la norme pour ce titre): on a le retour d'Esmeralda qui revient parce qu'après tout pourquoi pas elle? Tous les personnages de la série, y compris les morts reviennent, il n'y a pas de raison qu'elle ne puisse pas le faire? Comment? Pourquoi? Ce n'est pas le soucis d'Okada! Ce n'est à lui de fournir les explications des événements qu'il met en scène!
On a droit à un Ikki qui ne se soucie pas le moins du monde de ses frères d'armes, ce qui va à l'encontre du personnage tel qu'on le connaît, mais là encore il semblerait qu'Okada ne connaisse pas trop l'univers de Saint Seiya et que de toute façon, ce ne soit pas son problème! Et enfin un affrontement débute entre Ikki et Aiolia, sans la moindre raison, ils ont le même objectif, protège la même déesse, mais Okada a envie que "ses jouets se bagarrent", tel le pré-ado un peu naïf qu'il est...
Mais malgré tout, on ne peut nier que cet affrontement, s'il est illisible durant les séquences d'action (en fait Okada ne maîtrise vraiment aucun domaine de ce qui devrait faire de lui un mangaka), en impose et quelque part fait rêver: deux générations de Saint du Lion se font face et vont libérer toute leur puissance!
Deux nouveaux concepts vont sortir de cet affrontement, et si le premier ne rime à rien le second s'avère vraiment très cool!
Aiolia atteint le neuvième sens...ça sort de nulle part et l'explication est toute moisie...on oublie!
Par contre le fait qu'un ancien chevalier d'un rang inférieur (bronze ou argent), en devenant Gold Saint, fusionne ses techniques et obtiennent carrément une armure évoluant en fonction de l'ancien signe est vraiment une excellente idée! Ainsi on a un Ikki revêtant une armure du Lion avec des attributs de celle du Phénix, qui peut continuer à utiliser ses anciennes techniques!
Rien de nouveau dans l'idée (il existe tellement d'artworks mettant en scène Shun avec l'armure de la Vierge tout en conservant sa chaîne), mais le fait de le pousser aussi loin s'avère une excellente chose!
Une bonne idée ne sauve pas tout le reste, mais force est de constater qu'il s'agit vraiment d’une excellente idée. On a désormais envie de découvrir les autres Saints qu'on connaît avec une armure évoluée!
Ce n'est pas pour autant qu'on est pressé de découvrir la suite, d'autant qu'il parait évident que l'auteur a totalement perdu le contrôle de son récit (que devient la guerre des Gladiateurs?)...mais avec le peu qu'il y a à sauver, on est toujours content quand cela arrive!
Une fois le combat terminé, Camus reprend ses esprits et redevient le maître protecteur qu'il a toujours été!
Enfin Ikki entre en scène avec une mission bien précise: détruire les démons qui pullulent sur Terre!
Aussi étrange que cela puisse paraître, et une fois n'est pas coutume, j'ai trouvé ce tome assez plaisant! Bien entendu il est bourré de grand n'importe quoi et d'incohérences, on est bien loin du véritable esprit de Saint Seiya, mais ce que nous propose ici le catastrophique Okada est sans doute ce qu'il nous a proposé de mieux depuis le début!
L'affrontement entre Camus et Hyoga se termine donc et cela fait tout de même plaisir d'avoir une interaction, presque touchante, entre le maître et l'élève. Mais comme toujours dans ce titre, on passe rapidement à autre chose, on a le sentiment que chaque péripétie, chaque affrontement, est indépendant du reste.
Ikki fait son entrée en scène, et qu'on le veuille ou non, et ce quelque soit la série, il reste le personnage le plus charismatique!
S'ensuit alors une succession de séquences totalement WTF qui n'ont absolument aucun sens (la norme pour ce titre): on a le retour d'Esmeralda qui revient parce qu'après tout pourquoi pas elle? Tous les personnages de la série, y compris les morts reviennent, il n'y a pas de raison qu'elle ne puisse pas le faire? Comment? Pourquoi? Ce n'est pas le soucis d'Okada! Ce n'est à lui de fournir les explications des événements qu'il met en scène!
On a droit à un Ikki qui ne se soucie pas le moins du monde de ses frères d'armes, ce qui va à l'encontre du personnage tel qu'on le connaît, mais là encore il semblerait qu'Okada ne connaisse pas trop l'univers de Saint Seiya et que de toute façon, ce ne soit pas son problème! Et enfin un affrontement débute entre Ikki et Aiolia, sans la moindre raison, ils ont le même objectif, protège la même déesse, mais Okada a envie que "ses jouets se bagarrent", tel le pré-ado un peu naïf qu'il est...
Mais malgré tout, on ne peut nier que cet affrontement, s'il est illisible durant les séquences d'action (en fait Okada ne maîtrise vraiment aucun domaine de ce qui devrait faire de lui un mangaka), en impose et quelque part fait rêver: deux générations de Saint du Lion se font face et vont libérer toute leur puissance!
Deux nouveaux concepts vont sortir de cet affrontement, et si le premier ne rime à rien le second s'avère vraiment très cool!
Aiolia atteint le neuvième sens...ça sort de nulle part et l'explication est toute moisie...on oublie!
Par contre le fait qu'un ancien chevalier d'un rang inférieur (bronze ou argent), en devenant Gold Saint, fusionne ses techniques et obtiennent carrément une armure évoluant en fonction de l'ancien signe est vraiment une excellente idée! Ainsi on a un Ikki revêtant une armure du Lion avec des attributs de celle du Phénix, qui peut continuer à utiliser ses anciennes techniques!
Rien de nouveau dans l'idée (il existe tellement d'artworks mettant en scène Shun avec l'armure de la Vierge tout en conservant sa chaîne), mais le fait de le pousser aussi loin s'avère une excellente chose!
Une bonne idée ne sauve pas tout le reste, mais force est de constater qu'il s'agit vraiment d’une excellente idée. On a désormais envie de découvrir les autres Saints qu'on connaît avec une armure évoluée!
Ce n'est pas pour autant qu'on est pressé de découvrir la suite, d'autant qu'il parait évident que l'auteur a totalement perdu le contrôle de son récit (que devient la guerre des Gladiateurs?)...mais avec le peu qu'il y a à sauver, on est toujours content quand cela arrive!