Racaille blues Vol.34 - Actualité manga
Racaille blues Vol.34 - Manga

Racaille blues Vol.34 : Critiques Under my thumb

Rokudenashi Blues

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 01 Janvier 2018

Alors qu'on pensait que leur affrontement était imminent, Maeda et Kawashima vont finalement repartir chacun de leur côté, à notre grande surprise. En effet, Kawashima a finalement refusé de combattre notre héros, pour des raisons inexpliquées en début de ce tome.


Cet arc n'en est pour autant terminé ! En effet le lycée Kyokutoh doit se rendre à Tokyo dans le cadre d'un voyage scolaire, et l'on se doute bien que l'auteur saisira cette occasion pour faire reprendre les hostilités !


Dans ce tome, les évènements vont s'enchainer à une vitesse folle, avec plusieurs surprises à la clé. Masanori Morita nous révélera enfin le passé de Kawashima, ce qui nous permettra de comprendre ses motivations actuelles. La violence de ce personnage trouve son origine dans un évènement dramatique qui le pousse aujourd'hui à être une vraie crapule... Cependant, il n'est jamais trop tard pour changer !


L'autre bonne surprise de ce tome est le retour d'Onizuka. L'un des quatre rois du ciel, boss du quartier de Shibuya, va faire son retour en force et à cette occasion il prendra les atours d'un vrai gentleman portant secours à la gent féminine. En effet des lycéens de Kyokutoh revanchards vont prendre pour cible Chiaki, reconnue comme la petite amie de Maeda. A partir de là les choses vont bien évidemment dégénérer ! Alors que les protagonistes de cet arc sont dans un premier temps dispersés, petit à petit tous vont se réunir au même endroit pour une baston qu'on espère grandiose.


Commencé à Osaka, cet arc consacré à la guerre contre Kyokutoh va se poursuivre à Tokyo alors qu'on pensait dans un premier temps qu'il allait se terminer. L'auteur a la bonne idée de faire venir d'anciennes têtes avec Onizuka et sa bande... mais certains indices nous laissent croire qu'il ne s'arrêtera pas là. Et si la guerre, pour le moment localisée à Shibuya, devait générale ?!


Note de la rédaction